A l’occasion de la visite mercredi à Abidjan de Doudou Diène, l’expert indépendant des Nations Unies (Onu) sur les droits de l’Homme en Côte d'Ivoire, des responsables de la société civile ont évoqué le problème de l’insécurité.
Ces derniers mois, un nombre croissant et inquiétant d’attaques armées ont été signalées sur les routes du pays. De l’avis des observateurs, la lenteur des réformes du secteur de la sécurité inciterait certains des anciens combattants à se livrer au banditisme.
Parmi les victimes de ces attaques : des militaires, des gendarmes et des policiers. Selon le Dr Christophe Kouamé de la Convention de la société civile ivoirienne (CSCI), la Côte d’Ivoire est inondée d’armes légères, du fait des troubles des dix dernières années. Et nombre de ces armes restes aux mains d’indésirables.
« Il y a plusieurs témoignages de personnes circulant à travers la Côte d’Ivoire qui ont subi la fureur des coupeurs de route » a affirmé M. Kouamé dans une interview avec la Voix de l'Amerique (VOA). « Donc on a évoqué cela auprès de l’expert indépendant des Nations Unies », a-t-il ajouté.
« Certains sont lourdement armés et cela pose vraiment la question de la réforme du secteur de la sécurité », a poursuivi le responsable de la CSCI. La sécurité étant essentielle pour assurer la relance de l’économie ivoirienne et la poursuite du processus de réconciliation.
Ces derniers mois, un nombre croissant et inquiétant d’attaques armées ont été signalées sur les routes du pays. De l’avis des observateurs, la lenteur des réformes du secteur de la sécurité inciterait certains des anciens combattants à se livrer au banditisme.
Parmi les victimes de ces attaques : des militaires, des gendarmes et des policiers. Selon le Dr Christophe Kouamé de la Convention de la société civile ivoirienne (CSCI), la Côte d’Ivoire est inondée d’armes légères, du fait des troubles des dix dernières années. Et nombre de ces armes restes aux mains d’indésirables.
« Il y a plusieurs témoignages de personnes circulant à travers la Côte d’Ivoire qui ont subi la fureur des coupeurs de route » a affirmé M. Kouamé dans une interview avec la Voix de l'Amerique (VOA). « Donc on a évoqué cela auprès de l’expert indépendant des Nations Unies », a-t-il ajouté.
« Certains sont lourdement armés et cela pose vraiment la question de la réforme du secteur de la sécurité », a poursuivi le responsable de la CSCI. La sécurité étant essentielle pour assurer la relance de l’économie ivoirienne et la poursuite du processus de réconciliation.