Une vingtaine de chefs d'États et de gouvernement prendront part à ce sommet qui doit durer une journée.
"Les débats seront axés sur la paix, la sécurité, la stabilité et la lutte contre le terrorisme et l'extrémisme violent", a déclaré à l'AFP Robert Dussey, ministre togolais des affaires étrangères.
"Il s'agira pour la CEDEAO et la CEEAC d'avoir une forte implication dans la sécurisation des deux espaces communautaires, gage de toutes perspectives de croissance ou de développement de nos nations", a-t-il précisé.
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"Ce rendez-vous de nos deux communautés constitue, au regard des défis communs, un événement majeur dont les résultats auront un impact durable sur la vie et l'avenir de nos peuples", a pour sa part, précisé le président togolais Faure Gnassingbé sur son compte Twitter.
Une déclaration dite " déclaration de Lomé" sera rendue publique à la fin de ce sommet.
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Le sommet CEDEAO/CEEAC de Lomé, fait suite à celui tenu le 25 juin 2013 à Yaoundé (Cameroun), qui a abouti sur une déclaration sur la sûreté et la sécurité maritime dans le golfe de Guinée.
Cette déclaration a permis de doter l'Afrique centrale et de l'ouest de cadres juridiques et opérationnels, et d'une architecture de sécurité maritime, interconnectée et coordonnée par le centre interrégional de coordination, basé à Yaoundé.
Avec AFP