M. Akol a déclaré à l’AFP avoir été libéré, faisant allusion à levée du cordon que consituaient les forces de sécurité qui encerclaient, depuis une semaine, son domicile de Juba, la capitale du Soudan du Sud.
L’opposant a affirmé soupçonner le gouvernement d'être mécontent de ses positions concernant les problèmes actuels au pays, faisant allusion aux atermoiements du président Kiir et son ancien vice-président Riek Machar à signer l’accord de paix que la médiation propose.
La guerre civile a éclaté en décembre 2013 entre les partisans du président Salva Kiir et de son ancien vice-président Riek Machar s’affrontent.