"Je demande à tous les dirigeants gabonais de travailler urgemment pour assurer que la prochaine élection présidentielle du 28 août soit menée de manière transparente, équitable et pacifique en conformité avec les aspirations démocratiques du peuple gabonais", soutient le sénateur démocrate.
Il demande que les politiciens et les partis de différences tendances travaillent avec la société civile, les chefs religieux et d'autres leaders de la communauté pour "démontrer leur engagement à des élections pacifiques et crédibles et renforcer la confiance du peuple dans la légitimité du processus démocratique au Gabon ".
La situation politique est tendue à près d’un mois de la présidentielle au Gabon.
Les opposants se joignent à certains enfants de l’ancien président Omar Bongo Ondimba, accusent le président sortant Ali Bongo Ondimba d’usage de faux quant à ses certificats de naissance. Ils exigent purement et simplement l’invalidation de sa candidature par la Commission électorale.
Mais la justice français a classé le dossier et débouté par deux fois la demi-sœur qui est la principale plaignante.