Pour Idriss Deby qui est également président en exercice de l’Union africaine, il faut que les frères s’accorder à se parler dans un dialogue inclusif. Il a estimé que cette démarche un "impératif" pour les Libyens qui subissent la crise depuis six ans.
Le président congolais qui a organisé cette rencontre sur recommandation de l’Union africaine, a estimé qu’il était temps pour que l’Afrique s’implique dans la résolution de cette crise. "Cette fois-ci, avec plus de détermination, parce que nous devons aider la Libye à sortir de l'abîme, pour revivre et prospérer de nouveau comme nation", a déclaré Denis Sassou N’Guesso.
Les Nations Unies et l’Union africaine sont représentées à cette réunion par leurs hauts représentants. Les conclusions de Brazzaville seront examinées le 30 janvier à Addis-Abebas au cours du sommet de l’Union africaine. Le comité de haut niveau sur la Libye sera mandaté à rencontrer les différentes camps libyens à l’issue de ce sommet.
Reportage de Ngouela Ngossou a Brazzaville