Crise de la non-signature entre le M23 et Kinshasa: Une partie de la délégation du gouvernement congolais a quitté Kampala pour Kinshasa, suite à l’échec entre les deux parties, lundi, qui ne sont pas parvenus à s’entendre au moment de la signature, sur un document rédigé avant la défaite militaire du M23.
Malgré tout, le médiateur ougandais reste optimiste, et certaines consultations se poursuivent.
Des observateurs de l'ONU, de l'Union africaine, de l’Europe et des Etats-Unis avaient fait le déplacement à Entebbe pour la signature. Fort de sa victoire militaire sur les rebelles, le gouvernement congolais voudrait modifier l’intitulé du document et le qualifier de «Déclaration» ou de «Conclusion» plutôt que d’Accord, car pour Kinshasa le M23 n’existe plus.
e facilitateur ougandais est allé jusqu’à mettre en garde la délégation gouvernementale, en disant que le M23 risquait de se regrouper à nouveau pour reprendre la rébellion.
Dans une déclaration commune, plusieurs envoyés spéciaux pour les Grands Lacs, les Etats-Unis, l’Europe, l’Union africaine, de même que le représentant de l’ONU en RDC Martin Kobler, ont estimé primordial d'aboutir à "une conclusion politique", même après la défaite du M23.
Ecoutez Kampala Jean-Serge Kambasu, secrétaire permanent du Bureau politique du M23, expliquer le blocage au niveau de la signature.
M. Kambasu n’a pas voulu s’étendre sur le contenu du document en question afin de respecter, dit-il, la procédure de principe entre les parties. Le porte-parole du gouvernement congolais n’était pas joignable mardi pour une réaction.
Malgré tout, le médiateur ougandais reste optimiste, et certaines consultations se poursuivent.
Des observateurs de l'ONU, de l'Union africaine, de l’Europe et des Etats-Unis avaient fait le déplacement à Entebbe pour la signature. Fort de sa victoire militaire sur les rebelles, le gouvernement congolais voudrait modifier l’intitulé du document et le qualifier de «Déclaration» ou de «Conclusion» plutôt que d’Accord, car pour Kinshasa le M23 n’existe plus.
e facilitateur ougandais est allé jusqu’à mettre en garde la délégation gouvernementale, en disant que le M23 risquait de se regrouper à nouveau pour reprendre la rébellion.
Dans une déclaration commune, plusieurs envoyés spéciaux pour les Grands Lacs, les Etats-Unis, l’Europe, l’Union africaine, de même que le représentant de l’ONU en RDC Martin Kobler, ont estimé primordial d'aboutir à "une conclusion politique", même après la défaite du M23.
Ecoutez Kampala Jean-Serge Kambasu, secrétaire permanent du Bureau politique du M23, expliquer le blocage au niveau de la signature.
M. Kambasu n’a pas voulu s’étendre sur le contenu du document en question afin de respecter, dit-il, la procédure de principe entre les parties. Le porte-parole du gouvernement congolais n’était pas joignable mardi pour une réaction.