Dès que la mort de leur ancien président a été annoncée, les compatriotes de Nelson Mandela se sont rassemblés devant sa maison dans la banlieue de Johannesburg.
Les rues ont été bloquées autour de la maison de M. Mandela dans les moments qui ont suivi l’annonce de sa mort à la télévision et à la radio nationales. De tous les coins de Johannesburg et des villes environnantes, des personnes endeuillées ont commencé à affluer, apportant certaines des fleurs, d’autres des drapeaux sud-africains et des bougies pour une veillée informelle.
Plusieurs centaines de personnes étaient rassemblées autour du domicile de « Madiba » vers 1h du matin, scandant son nom et en déclamant des chansons à sa mémoire.
Sikhumbuzo Vilane a pris la route dès qu’elle a entendu, et a mis une heure pour atteindre le domicile du défunt.
« J'ai été choqué et très , très triste ... Il était tout pour moi et j'espère pour tous les Sud-africains », a-t-il dit.
Pour M. Vilane, l'élection de Nelson Mandela à la présidence en 1994, après sa sortie de prison, a changé sa vie.
« C'était comme un nouvel espoir, un nouveau jour pour l'Afrique du Sud. C'était comme un pays en train de renaître .... Tout ce que je suis aujourd'hui », a-t-il dit, « pratiquement tout ce que je possède, la plupart de ce que j'ai accompli. Je pourrais attribuer pratiquement tout cela à la lutte de Nelson Mandela pour la liberté ».
Toute la nuit, les personnes endeuillées ont continué à se rassembler près de la maison des Mandela. Des hélicoptères survolaient le secteur, et la police dirigeait la circulation aux alentours.
Snkosina Nkosi, un chauffeur de taxi , vit à proximité. Il s’est arrêté pour voir si ce qu'il avait entendu était vrai .
« Quand j'ai entendu parler de son état de santé, j'étais au travail . J'ai entendu l'annonce à la radio », a-t-il dit. « Je me suis juste précipité … pour voir de mes propres yeux si c'est vrai que notre icône avait disparu, pour savoir la vérité », a-t-il ajouté.
M. Nkosi a dit devoir sa liberté au chef de la lutte anti- apartheid.
« Avant que Mandela devienne président, il était difficile pour les gens d'aller où ils voulaient » explique-t-il . « Depuis, Mandela est devenu président. Nous avons la liberté d'aller où nous voulons. On y va juste à cause de Mandela ».
La chanteuse sud-africaine Mercy Pakela a descendu la rue pour rendre homage à son voisin et ami. Mme Pakela, qui avait rencontré Mandela à plusieurs reprises , a dit que c'est une grande perte pour le pays, mais que Mandela a pu finir son œuvre.
« Il a parcouru le long chemin vers la liberté , mais il est libre maintenant et il est heureux et il est en paix où il est, parce qu'il a fait son travail », dit-elle.
Les rues ont été bloquées autour de la maison de M. Mandela dans les moments qui ont suivi l’annonce de sa mort à la télévision et à la radio nationales. De tous les coins de Johannesburg et des villes environnantes, des personnes endeuillées ont commencé à affluer, apportant certaines des fleurs, d’autres des drapeaux sud-africains et des bougies pour une veillée informelle.
Plusieurs centaines de personnes étaient rassemblées autour du domicile de « Madiba » vers 1h du matin, scandant son nom et en déclamant des chansons à sa mémoire.
Sikhumbuzo Vilane a pris la route dès qu’elle a entendu, et a mis une heure pour atteindre le domicile du défunt.
« J'ai été choqué et très , très triste ... Il était tout pour moi et j'espère pour tous les Sud-africains », a-t-il dit.
Pour M. Vilane, l'élection de Nelson Mandela à la présidence en 1994, après sa sortie de prison, a changé sa vie.
« C'était comme un nouvel espoir, un nouveau jour pour l'Afrique du Sud. C'était comme un pays en train de renaître .... Tout ce que je suis aujourd'hui », a-t-il dit, « pratiquement tout ce que je possède, la plupart de ce que j'ai accompli. Je pourrais attribuer pratiquement tout cela à la lutte de Nelson Mandela pour la liberté ».
Toute la nuit, les personnes endeuillées ont continué à se rassembler près de la maison des Mandela. Des hélicoptères survolaient le secteur, et la police dirigeait la circulation aux alentours.
Snkosina Nkosi, un chauffeur de taxi , vit à proximité. Il s’est arrêté pour voir si ce qu'il avait entendu était vrai .
« Quand j'ai entendu parler de son état de santé, j'étais au travail . J'ai entendu l'annonce à la radio », a-t-il dit. « Je me suis juste précipité … pour voir de mes propres yeux si c'est vrai que notre icône avait disparu, pour savoir la vérité », a-t-il ajouté.
M. Nkosi a dit devoir sa liberté au chef de la lutte anti- apartheid.
« Avant que Mandela devienne président, il était difficile pour les gens d'aller où ils voulaient » explique-t-il . « Depuis, Mandela est devenu président. Nous avons la liberté d'aller où nous voulons. On y va juste à cause de Mandela ».
La chanteuse sud-africaine Mercy Pakela a descendu la rue pour rendre homage à son voisin et ami. Mme Pakela, qui avait rencontré Mandela à plusieurs reprises , a dit que c'est une grande perte pour le pays, mais que Mandela a pu finir son œuvre.
« Il a parcouru le long chemin vers la liberté , mais il est libre maintenant et il est heureux et il est en paix où il est, parce qu'il a fait son travail », dit-elle.