Un accord a été trouvé mardi entre le groupe automobile et la diplomatie américaine, a indiqué à l'agence financière l'ambassadeur des États-Unis à Berlin, Richard Grenell.
En vertu de cet accord, Volkswagen n'aura plus que des activités très restreintes en Iran, pour des raisons humanitaires.
En mai, le président Donald Trump avait rompu l'accord sur le nucléaire conclu en 2015 avec l'Iran et cinq autres pays, le dénonçant comme inéquitable. Cet accord, qui allégeait les sanctions contre Téhéran, avait permis à des entreprises occidentales de se réimplanter dans le pays.
Selon Bloomberg, VW a abandonné son projet, annoncé en juillet 2017, de vendre à nouveau des véhicules en Iran, après 17 ans d'absence.
Avec AFP