Barack Obama s'est posé mercredi en allié indéfectible d'Israël, appelant à la paix entre l'Etat hébreu et ses voisins, notamment palestiniens.
Descendant d'Air Force One à l'aéoport Ben Gourion de Tel-Aviv, M. Obama a été accueilli par le Premier ministre Benjamin Netanyahu, le président Shimon Peres, et l'ambassadeur des Etats-Unis en Israël, Dan Shapiro.
"La paix doit arriver en Terre sainte. Nous ne perdrons jamais de vue la paix entre Israël et ses voisins", a déclaré M. Obama dans une brève allocution sur le tarmac. "Notre alliance est éternelle", a-t-il assuré, affirmant que les Etats-Unis étaient "fiers d'être le plus fort allié d'Israël".
Le président américain a inspecté une batterie du système antimissiles Iron Dome, financé par les Etats-Unis
Le Premier ministre israélien a remercié le président américain de "défendre sans équivoque le droit d'Israël à exister et pour avoir courageusement défendu ce droit devant les Nations unies", en référence à son opposition à l'accession de la Palestine au statut d'Etat à l'ONU.
"Dans un Moyen-Orient instable et incertain, la nécessité de notre alliance est plus importante que jamais. C'est la clé pour pour parvenir à la paix stable et sûre à laquelle le peuple d'Israël aspire", a-t-il ajouté. Shimon Peres a également salué le "soutien inébranlable" de M. Obama à Israël.
Ce premier voyage de son second mandat intervient deux jours après l'investiture du nouveau gouvernement de M. Netanyahu qui s'est fixé comme "principale priorité la défense et la sécurité", en citant les "très graves menaces" provenant selon lui d'Iran et de Syrie.
Lors d'une déclaration avec son homologue américain, le président israélien Shimon Peres a insisté sur la nécessité d'empêcher les armes chimiques stockées en Syrie de "tomber aux mains de groupes terroristes".
"La capacité nucléaire syrienne a été heureusement détruite mais malheureusement, il reste l'arsenal d'armes chimiques", a prévenu M. Peres, en allusion à la destruction par Israël d'un réacteur nucléaire dans l'est de la Syrie en septembre 2007.
M. Obama, qui arrive avec pour seule ambition déclarée d'"écouter" mais pas de lancer d'initiative de paix, s'entretiendra jeudi à Ramallah avec le président palestinien Mahmoud Abbas, qui doit également l'accueillir pour une brève visite de la basilique de la Nativité à Bethléem.
Désireux de s'adresser directement aux Israéliens, le président américain prononcera un discours jeudi au centre international des Congrès de Jérusalem devant des centaines de jeunes, près de quatre ans après son discours à l'Université du Caire, très critiqué en Israël.
"La paix doit arriver en Terre sainte. Nous ne perdrons jamais de vue la paix entre Israël et ses voisins", a déclaré M. Obama dans une brève allocution sur le tarmac. "Notre alliance est éternelle", a-t-il assuré, affirmant que les Etats-Unis étaient "fiers d'être le plus fort allié d'Israël".
Le président américain a inspecté une batterie du système antimissiles Iron Dome, financé par les Etats-Unis
Le Premier ministre israélien a remercié le président américain de "défendre sans équivoque le droit d'Israël à exister et pour avoir courageusement défendu ce droit devant les Nations unies", en référence à son opposition à l'accession de la Palestine au statut d'Etat à l'ONU.
"Dans un Moyen-Orient instable et incertain, la nécessité de notre alliance est plus importante que jamais. C'est la clé pour pour parvenir à la paix stable et sûre à laquelle le peuple d'Israël aspire", a-t-il ajouté. Shimon Peres a également salué le "soutien inébranlable" de M. Obama à Israël.
Ce premier voyage de son second mandat intervient deux jours après l'investiture du nouveau gouvernement de M. Netanyahu qui s'est fixé comme "principale priorité la défense et la sécurité", en citant les "très graves menaces" provenant selon lui d'Iran et de Syrie.
Lors d'une déclaration avec son homologue américain, le président israélien Shimon Peres a insisté sur la nécessité d'empêcher les armes chimiques stockées en Syrie de "tomber aux mains de groupes terroristes".
"La capacité nucléaire syrienne a été heureusement détruite mais malheureusement, il reste l'arsenal d'armes chimiques", a prévenu M. Peres, en allusion à la destruction par Israël d'un réacteur nucléaire dans l'est de la Syrie en septembre 2007.
M. Obama, qui arrive avec pour seule ambition déclarée d'"écouter" mais pas de lancer d'initiative de paix, s'entretiendra jeudi à Ramallah avec le président palestinien Mahmoud Abbas, qui doit également l'accueillir pour une brève visite de la basilique de la Nativité à Bethléem.