Le Conseil de sécurité devrait accorder un mandat préliminaire aux troupes françaises et de l'Union africaine pour combattre les violations des droits humains en Centrafrique, selon Amnesty International
Il n’y a pas de temps à perdre, affirme l’ONG de défense des droits humains Amnesty International (AI). Le Conseil de sécurité de l'ONU doit autoriser le déploiement d’une force de maintien de la paix robuste en République centrafricaine (RCA) pour protéger les civils de la violence, alors que le pays sombre dans le chaos.
Cette semaine, le Conseil de sécurité devrait accorder un mandat préliminaire aux troupes françaises et de l'Union africaine (UA) pour maîtriser les forces de sécurité et les groupes armés responsables des violations des droits humains et autres violences, note Amnesty.
Néanmoins, ajoute l’ONG, il faudra peut-être une opération de maintien de la paix de l’ONU pour surmonter la crise actuelle. Quelques 200 militaires français sont arrivés durant le week-end en renfort à Bangui, ce qui a porté à "plus de 600" les effectifs français dans la capitale centrafricaine.
Par ailleurs, quelques 500 soldats congolais ont quitté Brazzaville dimanche pour la Centrafrique, où ils iront appuyer les effectifs de la Mission internationale de soutien à la Centrafrique sous conduite africaine (MISCA), la force de maintien de la paix.
Idrissa Seydou Dia a demandé à notre confrère Jean-Christ Zoungéré, journaliste au Citoyen de Bangui, si ces renforts de troupes allaient changer la « donne sécuritaire » dans le pays. Ecoutez sa réponse.
Cette semaine, le Conseil de sécurité devrait accorder un mandat préliminaire aux troupes françaises et de l'Union africaine (UA) pour maîtriser les forces de sécurité et les groupes armés responsables des violations des droits humains et autres violences, note Amnesty.
Néanmoins, ajoute l’ONG, il faudra peut-être une opération de maintien de la paix de l’ONU pour surmonter la crise actuelle. Quelques 200 militaires français sont arrivés durant le week-end en renfort à Bangui, ce qui a porté à "plus de 600" les effectifs français dans la capitale centrafricaine.
Par ailleurs, quelques 500 soldats congolais ont quitté Brazzaville dimanche pour la Centrafrique, où ils iront appuyer les effectifs de la Mission internationale de soutien à la Centrafrique sous conduite africaine (MISCA), la force de maintien de la paix.
Idrissa Seydou Dia a demandé à notre confrère Jean-Christ Zoungéré, journaliste au Citoyen de Bangui, si ces renforts de troupes allaient changer la « donne sécuritaire » dans le pays. Ecoutez sa réponse.
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