C’est une nouvelle gouvernance qui se met en marche, selon le directeur général de la SONATUR, la société chargée de l’aménagement du foncier et de sa commercialisation au pays des hommes intègres.
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Après une interruption des activités, liée aux polémiques successives sur des accusations de corruption et de trafic d’influence d’autorités pendant la transition politique au Burkina Faso, il était important désormais de reprendre en suscitant de la confiance au sein des Burkinabès.
"C’est dire au public que la Sonatur reprend du service avec de nouvelles règles de fonctionnement qui devraient permettre de satisfaire le plus grand nombre de personnes dans l’équité et la transparence voulues par notre équipe", explique Claude Aubin Tapsoba.
Il poursuit : "vous avez suivi la polémique qui a enflé à la Sonatur en début 2016, ce qui a conduit à un changement d’équipe donc nous avions le devoir de faire un diagnostic de la situation, identifier les goulots d’étranglement proposer des solutions avant de reprendre les ventes pour éviter d’envenimer la situation."
Des terres - dont la superficie va de 300 à 1000 m2 - seront disponibles. Le coût varie en fonction de la position géographique, de la taille et des commodités offertes.
Issa Napon, à Ouagadougou