Le journaliste soutient que les autorités le gouvernement burundais l’accusent de connivence avec les généraux qui ont fomenté le putsch manqué durant les manifestations violentes contre le troisième mandat de Pierre Nkurunziza .
Maître Ramberi Nsabimana, l’avocat du journaliste, a déclaré mercredi à l'agence AP que Kaburahe a été interrogé par les autorités judiciaires le 16 novembre avant son voyage pour la Belgique. L’interrogatoire portait sur ses conversations téléphoniques avec les putschistes.
Carine Tertsakian, chercheuse de Human Rights Watch au Burundi, indique que Kaburahe est un journaliste respecté et que les allégations portées à son encontre sont "absurdes".
Avec AP