Les garanties exigées par les auteurs du putsch du 17 septembre tournent autour de la sécurité de ces derniers et de leurs familles.
Un haut haut gradé du Régiment de sécurité présidentielle (RSP) indique, selon l'AFP, qu'ils "se sont catégoriquement opposés" à tout désarmement.
"Ils ont rencontré une délégation de l'Etat major de terre pour poser le problème de leur sécurité et de celle de leurs familles. Ils n'ont eu aucune garantie sur ce problème", révèle ce militaire.
Avec AFP