"Quelle est la dernière rumeur que tu as?" Une question devenue désormais assez courante au Burundi, et plus particulièrement dans la capitale, Bujumbura.
En effet, les principales radios indépendantes ont été réduites au silence depuis trois mois déjà. Et les gens se rabattent sur les médias sociaux tels que Facebook, Whatsapp et Telegram pour échanger les dernières nouvelles, alors que la situation reste volatile.
Le procureur général de la République affirme que des enquêtes sont en cours. Mais les gestionnaires des radios privées affirment que rien n’est fait pour leur réouverture.
Your browser doesn’t support HTML5