Malgré d’importants atouts notamment l’étendue de son marché, le film africain a toujours du mal à s’imposer sur la scène mondiale. Sa faible représentation au Festival de Cannes de cette année en témoigne.
Pour Cheick Oumar Sissoko, cinéaste, et secrétaire général de la Fédération Panafricaine des Cinéastes, la mise en place prochaine de la Commission africaine pour le cinéma et l’audiovisuel par l’Union Africaine aidera l’émergence d’une véritable industrie cinématographique sur le continent.
Your browser doesn’t support HTML5
"Un festival comme le festival de Cannes doit pouvoir permettre une emergence du cinema africaine. Une reconnaissance de la qualité de nos films, un grand interet de la part des producteur du monde entier, des grande chaines de television, et des grand distributeurs" Cheick Oumar Sissoko, secrétaire général de la Fédération Panafricaine des Cinéastes.