En Afrique, conflits et menaces terroristes fragilisent la presse selon Reporters sans Frontières
La Finlande conserve son rang de meilleur élève dans le classement établi par Reporters Sans Frontières ( RSF) qui vient de paraître. Elle est talonnée, comme dans la dernière édition, par les Pays-Bas et la Norvège.
A l’extrême opposé, en queue de classement, le trio infernal réunit à nouveau le Turkménistan, la Corée du Nord et l’Érythrée, des pays où la liberté de la presse « est tout simplement inexistante », signale l’ONG qui, pour 2014, a pris en compte 180 pays contre 179 l’année dernière.
Le classement 2014 « souligne logiquement la corrélation négative entre un conflit – ouvert ou non déclaré – et la liberté d’information. »
L’ONG explique que, dans un contexte d’instabilité, « les médias sont des objectifs et des cibles stratégiques pour les groupes ou individus qui tentent de contrôler l’information ».
Pour RSF, « les chutes du Mali (122e) et de la République centrafricaine (109e) illustrent bien cette corrélation négative. »
Les guerres ouvertes ou intestines qui déstabilisent la République démocratique du Congo (151e), tout comme les actions de guérillas et de groupes terroristes en Somalie (176e) et au Nigeria (112e) « ne contribuent pas à améliorer leur classement », déplore l’ONG.
A l’extrême opposé, en queue de classement, le trio infernal réunit à nouveau le Turkménistan, la Corée du Nord et l’Érythrée, des pays où la liberté de la presse « est tout simplement inexistante », signale l’ONG qui, pour 2014, a pris en compte 180 pays contre 179 l’année dernière.
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Le classement 2014 « souligne logiquement la corrélation négative entre un conflit – ouvert ou non déclaré – et la liberté d’information. »
L’ONG explique que, dans un contexte d’instabilité, « les médias sont des objectifs et des cibles stratégiques pour les groupes ou individus qui tentent de contrôler l’information ».
Pour RSF, « les chutes du Mali (122e) et de la République centrafricaine (109e) illustrent bien cette corrélation négative. »
Les guerres ouvertes ou intestines qui déstabilisent la République démocratique du Congo (151e), tout comme les actions de guérillas et de groupes terroristes en Somalie (176e) et au Nigeria (112e) « ne contribuent pas à améliorer leur classement », déplore l’ONG.