Pour le président de la National Urban League, Marc Morial, l’écart se creuse aux Etats-Unis entre ceux qui ont une maison, un emploi et des économies, et ceux qui en sont privés.
La Ligue urbaine nationale (National Urban League) conclut, dans un rapport publié jeudi sur la situation économique des Etats-Unis, que les Noirs et les Hispaniques perdent du terrain par rapport aux blancs.
Selon cette étude, le taux de chômage est plus élevé chez ces deux communautés, qui en outre accumulent moins de richesses que les Blancs. Plus de 20% des Noirs, et 18% des Hispaniques sont sans emploi, ou travaillent à temps partiel. Ce taux se situe en dessous de 12% pour les Blancs, lit-on dans le rapport.
Bien que l’économie américaine se soit améliorée depuis la grande récession de 2009, le chômage était encore à 6,7% en février. Mais ce taux était de 12% chez les Noirs, comparé au 5,8% chez les Blancs.
Pour le président de la Ligue urbaine nationale, Marc Morial, l’écart se creuse aux Etats-Unis entre ceux qui ont une maison, un emploi sûr, ainsi que des économies et ceux qui ont très peu de sécurité économique.
Les choses se sont nettement améliorées pour les grandes firmes américaines, et les places boursières, poursuit l’ancien maire de la Nouvelle Orléans. Mais nombre d’Américains connaissent toujours des problèmes graves, notamment, la perte de leurs maisons et emplois ; l’absence de crédit bancaire et des réductions de l’aide gouvernementale à l’éducation.
En demandant récemment au Congrès l’augmentation du Salaire minimum interprofessionnel de croissance (SMIC), le président Barack Obama a mis en garde contre « ces inégalités croissantes et dangereuses ». Mais les parlementaires conservateurs estiment que cela ne ferait qu’aggraver le chômage.
Selon cette étude, le taux de chômage est plus élevé chez ces deux communautés, qui en outre accumulent moins de richesses que les Blancs. Plus de 20% des Noirs, et 18% des Hispaniques sont sans emploi, ou travaillent à temps partiel. Ce taux se situe en dessous de 12% pour les Blancs, lit-on dans le rapport.
Bien que l’économie américaine se soit améliorée depuis la grande récession de 2009, le chômage était encore à 6,7% en février. Mais ce taux était de 12% chez les Noirs, comparé au 5,8% chez les Blancs.
Pour le président de la Ligue urbaine nationale, Marc Morial, l’écart se creuse aux Etats-Unis entre ceux qui ont une maison, un emploi sûr, ainsi que des économies et ceux qui ont très peu de sécurité économique.
Les choses se sont nettement améliorées pour les grandes firmes américaines, et les places boursières, poursuit l’ancien maire de la Nouvelle Orléans. Mais nombre d’Américains connaissent toujours des problèmes graves, notamment, la perte de leurs maisons et emplois ; l’absence de crédit bancaire et des réductions de l’aide gouvernementale à l’éducation.
En demandant récemment au Congrès l’augmentation du Salaire minimum interprofessionnel de croissance (SMIC), le président Barack Obama a mis en garde contre « ces inégalités croissantes et dangereuses ». Mais les parlementaires conservateurs estiment que cela ne ferait qu’aggraver le chômage.