Dans un discours à la télévision nationale mardi, 14 mai 2013, M. Jonathan a dit qu'il déployait davantage de troupes dans les États de Borno, Yobe et de l'Adamaoua dans le cadre de ce qu'il a appelé les opérations de sécurité intérieure.
Le président nigérian Goodluck Jonathan a déclaré l'état d'urgence dans trois États du Nord suite à une recrudescence de la violence causée par des militants islamistes.
Dans un discours à la télévision nationale mardi, 14 mai 2013, M. Jonathan a dit qu'il déployait davantage de troupes dans les États de Borno, Yobe et de l'Adamaoua dans le cadre de ce qu'il a appelé les opérations de sécurité intérieure.
Le dirigeant nigérian a déclaré que les agents de sécurité ont reçu l’ordre de prendre "toutes les mesures nécessaires" pour arrêter les insurgés et les terroristes, et ont le pouvoir de procéder à des arrestations et à prendre le contrôle de tout bâtiment utilisé à des fins terroristes.
M. Jonathan a écourté un voyage en Afrique du Sud la semaine dernière pour faire face à la recrudescence de la violence au Nigéria.
Les membres du groupe extrémiste Boko Haram ont attaqué la ville de Bama (Nord-Est), le 5 mai, faisant 55 morts, dont de nombreux policiers et gardiens de prison.
Deux semaines plus tôt, plus de 180 personnes ont été tuées dans des affrontements entre militants et forces gouvernementales dans la ville voisine de Baga. Des témoins ont attribué nombre de ces tueries aux feux allumés par l'armée - une accusation que l'armée a niée.
Lundi, 13 mai 2013, le chef présumé de Boko Haram, Abubakar Shekau, a déclaré dans une vidéo que le groupe a commencé l'enlèvement de femmes et d'enfants dans le cadre de sa campagne contre le gouvernement.
Boko Haram combat le gouvernement nigérian depuis 2009. La secte affirme vouloir imposer la loi islamique dans le nord du pays à majorité musulmane.
Dans un discours à la télévision nationale mardi, 14 mai 2013, M. Jonathan a dit qu'il déployait davantage de troupes dans les États de Borno, Yobe et de l'Adamaoua dans le cadre de ce qu'il a appelé les opérations de sécurité intérieure.
Le dirigeant nigérian a déclaré que les agents de sécurité ont reçu l’ordre de prendre "toutes les mesures nécessaires" pour arrêter les insurgés et les terroristes, et ont le pouvoir de procéder à des arrestations et à prendre le contrôle de tout bâtiment utilisé à des fins terroristes.
M. Jonathan a écourté un voyage en Afrique du Sud la semaine dernière pour faire face à la recrudescence de la violence au Nigéria.
Les membres du groupe extrémiste Boko Haram ont attaqué la ville de Bama (Nord-Est), le 5 mai, faisant 55 morts, dont de nombreux policiers et gardiens de prison.
Deux semaines plus tôt, plus de 180 personnes ont été tuées dans des affrontements entre militants et forces gouvernementales dans la ville voisine de Baga. Des témoins ont attribué nombre de ces tueries aux feux allumés par l'armée - une accusation que l'armée a niée.
Lundi, 13 mai 2013, le chef présumé de Boko Haram, Abubakar Shekau, a déclaré dans une vidéo que le groupe a commencé l'enlèvement de femmes et d'enfants dans le cadre de sa campagne contre le gouvernement.
Boko Haram combat le gouvernement nigérian depuis 2009. La secte affirme vouloir imposer la loi islamique dans le nord du pays à majorité musulmane.