Les responsables sanitaires rappellent que le personnel soignant et les proches doivent minimiser les contacts directs ou étroits avec des patients infectés, et se laver les mains fréquemment.
Les responsables sanitaires chiffraient mercredi le bilan humain de l’épidémie de fièvre hémorragique à virus Ebola en Guinée à 62 morts. Pour sa part, l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) a fait état de 86 cas suspects d'Ebola en Guinée, dont 13 ont été confirmés par les analyses de laboratoire.
L'épidémie frappe des régions rurales du sud-est de la Guinée, dont les préfectures de Guéckédou et Macenta. L'OMS a déclaré sur son compte Twitter lundi que les analyses des prélèvements réalisés sur deux cas suspects dans la capitale, Conakry, se sont avérés négatifs.
L’Ebola est une maladie virale hautement contagieuse, qui provoque de multiples symptômes, dont une forte fièvre, des vomissements, maux de tête, de la diarrhée et des saignements.
Les responsables sanitaires rappellent que le personnel soignant et les proches doivent minimiser les contacts directs ou étroits avec des patients infectés, et se laver les mains fréquemment.
En 2012, une épidémie de fièvre à virus Ebola a couté la vie à au moins 16 personnes en Ouganda.
Par ailleurs, l’ONG Médecins sans Frontières (MSF) a renforcé ses équipes à Guéckédou et Macenta. Dans un communiqué, MSF précise avoir déployé 30 personnes sur le terrain, qui devraient être rejointes d’ici peu par d’autres médecins, infirmiers et spécialistes de l’assainissement.
Les équipes de MSF se consacrent également à « la recherche de contacts », c'est-à-dire, elles tentent de déterminer avec qui les malades présentant des symptômes auraient pu être en contact, avant de chercher à se faire soigner.
« Nos médecins spécialisés dans le virus à Ebola vont à pied de village en village dans les zones où il y a eu des cas», explique Marie-Christien Férir, coordinatrice des urgences à MSF. « Ils recherchent les personnes présentant des symptômes de la maladie pour les amener aux centres de traitement spécialisés », a-t-elle poursuivi.
Il n'existe pas de traitement spécifique pour le virus à Ebola, mais en soignant les symptômes, on peut enrayer l’évolution de la maladie ou réduire la souffrance d'un patient, et mieux éviter la contagion, ajoute MSF.
L'épidémie frappe des régions rurales du sud-est de la Guinée, dont les préfectures de Guéckédou et Macenta. L'OMS a déclaré sur son compte Twitter lundi que les analyses des prélèvements réalisés sur deux cas suspects dans la capitale, Conakry, se sont avérés négatifs.
L’Ebola est une maladie virale hautement contagieuse, qui provoque de multiples symptômes, dont une forte fièvre, des vomissements, maux de tête, de la diarrhée et des saignements.
Les responsables sanitaires rappellent que le personnel soignant et les proches doivent minimiser les contacts directs ou étroits avec des patients infectés, et se laver les mains fréquemment.
En 2012, une épidémie de fièvre à virus Ebola a couté la vie à au moins 16 personnes en Ouganda.
Par ailleurs, l’ONG Médecins sans Frontières (MSF) a renforcé ses équipes à Guéckédou et Macenta. Dans un communiqué, MSF précise avoir déployé 30 personnes sur le terrain, qui devraient être rejointes d’ici peu par d’autres médecins, infirmiers et spécialistes de l’assainissement.
Les équipes de MSF se consacrent également à « la recherche de contacts », c'est-à-dire, elles tentent de déterminer avec qui les malades présentant des symptômes auraient pu être en contact, avant de chercher à se faire soigner.
« Nos médecins spécialisés dans le virus à Ebola vont à pied de village en village dans les zones où il y a eu des cas», explique Marie-Christien Férir, coordinatrice des urgences à MSF. « Ils recherchent les personnes présentant des symptômes de la maladie pour les amener aux centres de traitement spécialisés », a-t-elle poursuivi.
Il n'existe pas de traitement spécifique pour le virus à Ebola, mais en soignant les symptômes, on peut enrayer l’évolution de la maladie ou réduire la souffrance d'un patient, et mieux éviter la contagion, ajoute MSF.