Le pays panse ses plaies dix ans jour pour jour après l'invasion du pays par une coalition militaire dirigée par les Etats-Unis.
Des sites internet djihadistes se sont faits l'écho de la revendication par Al-Qaïda en Irak de la nouvelle série d'attaques qui ont visé la communauté chiite à Bagdad et dans sa périphérie.
Une vingtaine d'attentats à la voiture piégée, des assassinats ciblés et l'explosion de plusieurs engins improvisés ont tué pres de 60 personnes
Au total, les violences ont tué 112.000 civils depuis le début de l'invasion le 20 mars 2003, selon un rapport de Iraq Body Count publié dimanche. L'ONG avertit deja que "leur fin n'est pas en vue".
Embourbé dans les violences, fragilisé par une instabilité politique chronique, l'Irak commémore le dixième anniversaire de son invasion qui a abouti à la chute du régime de Saddam Hussein,
Dans la discrétion, le Premier ministre chiite Nouri al-Maliki, chahuté par ses partenaires de coalition et la minorité sunnite, n'a pas prévu de marquer l'événement.
Mardi, le président américain Barack Obama a "honoré la mémoire des près de 4.500 Américains" morts en Irak, sans évoquer les victimes irakiennes, ni la décision d'envahir le pays, prise par son prédécesseur George W. Bush.
Une vingtaine d'attentats à la voiture piégée, des assassinats ciblés et l'explosion de plusieurs engins improvisés ont tué pres de 60 personnes
Au total, les violences ont tué 112.000 civils depuis le début de l'invasion le 20 mars 2003, selon un rapport de Iraq Body Count publié dimanche. L'ONG avertit deja que "leur fin n'est pas en vue".
Embourbé dans les violences, fragilisé par une instabilité politique chronique, l'Irak commémore le dixième anniversaire de son invasion qui a abouti à la chute du régime de Saddam Hussein,
Dans la discrétion, le Premier ministre chiite Nouri al-Maliki, chahuté par ses partenaires de coalition et la minorité sunnite, n'a pas prévu de marquer l'événement.
Mardi, le président américain Barack Obama a "honoré la mémoire des près de 4.500 Américains" morts en Irak, sans évoquer les victimes irakiennes, ni la décision d'envahir le pays, prise par son prédécesseur George W. Bush.