Le secrétaire d’Etat John Kerry, qui faisait escale en Algérie jeudi, a dit que les négociations israélo-palestiniennes sont à un moment critique. Il a appelé chaque partie à faire des concessions.
Israël a décidé d'annuler la libération du dernier groupe de prisonniers palestiniens qui était prévue dans le cadre des pourparlers de paix. Mahmoud Abbas depuis mardi cherche une pleine reconnaissance de l’Etat de Palestine aux Nations Unies (ONU).
Tzipi Livni, ministre israélienne de la Justice et chargée des négociations, a fait part à son homologue palestinien du refus d'Israël d'honorer la promesse de relâcher les 26 détenus palestiniens. Elle rencontré jeudi soir à Jérusalem l'émissaire américain Martin Indyk et le négociateur palestinien Saëb Erakat.
La veille, le président palestinien Mahmoud Abbas a décidé de reprendre la voie de l'ONU pour une pleine reconnaissance de l'Etat de Palestine, en demandant l'adhésion à 15 agences et traités internationaux.
Le secrétaire d’Etat américain John Kerry, qui faisait escale en Algérie jeudi, a dit que les négociations israélo-palestiniennes sont à un moment critique. Il a appelé chaque partie à faire des concessions.
« Les dirigeants doivent diriger et doivent être capable de saisir un moment lorsqu’il est là », a-t-il souligné.
Aux termes de l'accord conclu en juillet pour renouer le dialogue, l'Autorité palestinienne devait suspendre toute démarche d'adhésion aux organisations internationales pendant les neuf mois, en échange de la libération de quatre contingents de prisonniers incarcérés avant 1993 par Israël. Trois groupes ont déjà été relâchés, mais le quatrième va devoir attendre. Israël voulait une prolongation des négociations au-delà du 29 avril, et les palestiniens ont refusé.
Tzipi Livni, ministre israélienne de la Justice et chargée des négociations, a fait part à son homologue palestinien du refus d'Israël d'honorer la promesse de relâcher les 26 détenus palestiniens. Elle rencontré jeudi soir à Jérusalem l'émissaire américain Martin Indyk et le négociateur palestinien Saëb Erakat.
La veille, le président palestinien Mahmoud Abbas a décidé de reprendre la voie de l'ONU pour une pleine reconnaissance de l'Etat de Palestine, en demandant l'adhésion à 15 agences et traités internationaux.
Le secrétaire d’Etat américain John Kerry, qui faisait escale en Algérie jeudi, a dit que les négociations israélo-palestiniennes sont à un moment critique. Il a appelé chaque partie à faire des concessions.
« Les dirigeants doivent diriger et doivent être capable de saisir un moment lorsqu’il est là », a-t-il souligné.
Aux termes de l'accord conclu en juillet pour renouer le dialogue, l'Autorité palestinienne devait suspendre toute démarche d'adhésion aux organisations internationales pendant les neuf mois, en échange de la libération de quatre contingents de prisonniers incarcérés avant 1993 par Israël. Trois groupes ont déjà été relâchés, mais le quatrième va devoir attendre. Israël voulait une prolongation des négociations au-delà du 29 avril, et les palestiniens ont refusé.