Selon cette commission, le même groupe a aussi attaqué la présidence du gouvernement.
La commission "Sécurité et défense" du Congrès général national (GNC), instance législative des autorités non reconnues par la communauté internationale, appelle "les forces vives de la révolution et les organes de sécurité à assumer pleinement leurs responsabilités pour défendre et assurer la sécurité de la capitale".
Pour sa part, un porte-parole de la coalition de milices Fajr Libya, qui contrôle Tripoli, a indiqué à l'AFP que le ministre Mohamad al-Gaddar avait été enlevé lundi dans la capitale et qu'il n'avait toujours pas été relâché.
Selon cette même source, le périmètre du siège de la présidence du gouvernement, situé dans un quartier résidentiel du centre-ville, a été le théâtre de tirs sporadiques dans la nuit de lundi à mardi, sans plus de précisions.
Avec AFP