Deux attentats-suicides vendredi à Ménaka et Gossi, dans lesquels les 5 auteurs sont morts, ont fait au moins deux blessés dans les rangs de l’armée malienne.
Une première attaque a visé un camp des forces nigériennes, dans le nord-est du Mali, à Ménaka, ville située à une centaine de kilomètres de la frontière nigérienne, selon des sources militaires.
Le seul mort est le Kamikaze, qui aurait détonné ses explosifs alors qu’il essayait de rentrer dans le camp au volant d’un véhicule. Suite à l’attaque, les troupes nigériennes ont été mises en état d'alerte.
La deuxième attaque est survenue à Gossi, localité située entre Gao et Hombori. Selon des sources militaires, c’est ici que deux soldats maliens ont été blessés, tandis que quatre kamikazes sont morts, a dit un militaire dans un bilan provisoire.
Les ravisseurs auraient provoqué l’explosion à leur arrivée au barrage militaire de la localité à bord d’un camion venant de Gao sur la route nationale 15.
Le seul mort est le Kamikaze, qui aurait détonné ses explosifs alors qu’il essayait de rentrer dans le camp au volant d’un véhicule. Suite à l’attaque, les troupes nigériennes ont été mises en état d'alerte.
La deuxième attaque est survenue à Gossi, localité située entre Gao et Hombori. Selon des sources militaires, c’est ici que deux soldats maliens ont été blessés, tandis que quatre kamikazes sont morts, a dit un militaire dans un bilan provisoire.
Les ravisseurs auraient provoqué l’explosion à leur arrivée au barrage militaire de la localité à bord d’un camion venant de Gao sur la route nationale 15.