Selon la mission des Nations Unies au Congo (Monusco), la tuerie, perpétrée entre le 13 et le 14 décembre, a fait plus d'une vingtaine de morts.
Au moins 21 personnes, dont des enfants, ont été tuées, et des corps ont été retrouvés mutilés, dans une attaque d’une "extrême brutalité" dans l’est de la République démocratique du Congo, a dénoncé dans un communiqué la Monusco.
Le massacre a eu lieu dans les villages de Musuku et Mwenda, en territoire de Béni, les 13 et 14 décembre, selon la mission onusienne en RDC. Les victimes, dont des femmes et des enfants auraient été tuées pour la plupart à l'arme blanche.
La société civile du Nord-Kivu accuse les rebelles d’origine ougandaise ADF-Nalu qui sévissent encore dans l’est de la RDC. La Coordination provinciale de la Société Civile du Nord-Kivu se dit consternée par le carnage dans la localité de Kyavikere.
Ce massacre aurait été perpétré lors d’une série d’embuscades, dit la coordination de la société civile dans un communiqué. Son président, Thomas D’Aquin Muiti, a été joint à Goma par la VOA.
Le massacre a eu lieu dans les villages de Musuku et Mwenda, en territoire de Béni, les 13 et 14 décembre, selon la mission onusienne en RDC. Les victimes, dont des femmes et des enfants auraient été tuées pour la plupart à l'arme blanche.
La société civile du Nord-Kivu accuse les rebelles d’origine ougandaise ADF-Nalu qui sévissent encore dans l’est de la RDC. La Coordination provinciale de la Société Civile du Nord-Kivu se dit consternée par le carnage dans la localité de Kyavikere.
Ce massacre aurait été perpétré lors d’une série d’embuscades, dit la coordination de la société civile dans un communiqué. Son président, Thomas D’Aquin Muiti, a été joint à Goma par la VOA.
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