Burundi: la gestion foncière ravive les tensions ethniques

La ville de Bujumbura, capitale du Burundi (archives 2006)

Certains mouvements s’organisent pour empêcher l’exécution des décisions de la Commission nationale des terres et autres biens.
Au Burundi, la gestion foncière risque de replonger le pays dans un conflit ethnique entre hutu et tutsi.

Des voix s’élèvent pour décrier la CNTB (Commission nationale des terres et autres biens), un organe chargé de régler les conflits fonciers et de restituer aux réfugiés burundais leurs biens occupés par ceux qui sont restés au pays.

La CNTB est accusée de traitement partial par l’opposition et la société civile. Certains mouvements s’organisent ainsi pour empêcher l’exécution des décisions de cette Commission.

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Le reportage de notre correspondant Eric Manirakiza