Les 2 confrères avaient été placés en garde à vue le 4 juin dernier pour avoir publié des documents compromettants pour plusieurs personnalités.
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Kiné Fatim Diop, chargée de campagne en Afrique de l’Ouest pour Amnesty International, au micro d'Idriss Fall
Les 2 journalistes avaient été inculpés pour divulgation de documents issus de perquisition et diffusion d'informations pouvant influencer une décision de justice. Un troisième, qui est l'imprimeur du journal, a été relaxé.
Les journalistes n’ont pas été jugés «sur la base de la loi qui régit la presse au Niger », a tenu à dénoncer Maître Mossi Boubacar , un de leurs avocats après le verdict :
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Maître Mossi Boubacar, au micro d'Abdoul-Razak Idrissa à Niamey