Plus de 120 clous extraits de l'estomac d'un patient en Ethiopie

<span class="VIiyi" jsaction="mouseup:BR6jm" jsname="jqKxS" lang="az"><span class="JLqJ4b ChMk0b" data-language-for-alternatives="az" data-language-to-translate-into="en" data-number-of-phrases="1" data-phrase-index="0" jsaction="agoMJf:PFBcW;usxOmf:aWLT7;jhKsnd:P7O7bd,F8DmGf;Q4AGo:Gm7gYd,qAKMYb;uFUCPb:pvnm0e,pfE8Hb,PFBcW;f56efd:dJXsye;EnoYf:KNzws,ZJsZZ,JgVSJc;zdMJQc:cCQNKb,ZJsZZ,zchEXc;Ytrrj:JJDvdc;tNR8yc:GeFvjb;oFN6Ye:hij5Wb;bmeZHc:iURhpf;Oxj3Xe:qAKMYb,yaf12d" jscontroller="Zl5N8" jsdata="uqLsIf;_;$3963" jsmodel="SsMkhd" jsname="txFAF"><span jsaction="click:qtZ4nf,GFf3ac,tMZCfe; contextmenu:Nqw7Te,QP7LD; mouseout:Nqw7Te; mouseover:qtZ4nf,c2aHje" jsname="W297wb">Ukraynalı qaçqınlar Fransanın cənub-qərbindəki Hendaye qatar stansiyasında&nbsp;</span></span></span>

Des médecins d'un hôpital de la capitale éthiopienne Addis Abeba ont extrait 122 clous, ainsi que d'autres objets coupants, de l'estomac d'un patient de 33 ans.

"Le patient souffre d'une maladie mentale depuis 10 ans et avait arrêté de prendre ses médicaments il y a deux ans", a déclaré à l'AFP Dawit Teare, un chirurgien de l'hôpital Saint-Pierre d'Addis Abeba. "C'est une raison probable pour laquelle il a commencé à consommer des objets".

En plus de 122 clous de 10 centimètres de long, les médecins ont extrait quatre punaises, deux aiguilles, un cure-dent et plusieurs morceaux de verre brisé, a-t-il détaillé. "J'imagine qu'il a consommé ces objets en buvant de l'eau".

Lire aussi : Le Premier ministre éthiopien accuse des soldats d'avoir voulu "faire échouer les réformes"

"Il a de la chance que ces objets coupants n'aient pas coupé son estomac, ce qui aurait pu mener à de graves infections et même à la mort", a souligné le chirurgien, qui dit avoir déjà opéré des patients souffrant de maladie mentale ayant avalé des objets coupants, mais jamais dans de telles proportions.

Il a précisé que le patient se porte désormais bien et a appelé ses proches à surveiller de près sa santé physique et mentale afin d'éviter qu'il ne consomme à nouveau de tels objets.

Avec AFP