L'opposition réclame plus de transparence dans l’organisation des élections législatives prévues le 12 mai prochain.
De notre correspondant Zacaria Camara:
Nouvelle manifestation de l’opposition en Guinée pour réclamer plus de transparence dans l’organisation des élections législatives prévues le 12 mai prochain. Les leaders de l’opposition ont lancé un appel à la communauté internationale pour une médiation entre eux et le pouvoir.
La marche, qui a commencé le matin du 27 février, a connu des heurts entre manifestants et éléments des forces de l’ordre.
Après plus de 15 km de marche, les leaders de l’opposition et leurs militants se sont regroupés à l’esplanade du grand stade de Conakry. Au niveau des militants les revendications sont diverses ; certains parlent des conditions de vie précaires du citoyen guinéen, d’autres réclament de meilleures conditions d’organisation des élections législatives du 12 mai.
Tour à tour, les différents responsables des partis politiques de l’opposition guinéenne ont livré chacun son message, certains allant au-delà de l’organisation des élections jusqu’à menacer de demander le départ du président Alpha Condé. Ovationné par la foule, Celou Dalein Diallo-- chef de file de l’opposition-- a lancé un appel pour une sortie de crise.
La marche a enregistré des incidents au passage, devant le RPG, le parti du président Condé ; des heurts entre manifestants et éléments des forces de l’ordre ont fait plusieurs blessés civils et au sein de la police et de la gendarmerie selon un responsable de la gendarmerie.
L’opposition guinéenne insiste sur le vote des Guinéens vivant à l’étranger et le départ de Waymark, l’opérateur technique sud-africain retenu pour la révision du fichier électoral. Elle menace de redescendre dans la rue si elle n’a pas gain de cause.
Nouvelle manifestation de l’opposition en Guinée pour réclamer plus de transparence dans l’organisation des élections législatives prévues le 12 mai prochain. Les leaders de l’opposition ont lancé un appel à la communauté internationale pour une médiation entre eux et le pouvoir.
La marche, qui a commencé le matin du 27 février, a connu des heurts entre manifestants et éléments des forces de l’ordre.
Après plus de 15 km de marche, les leaders de l’opposition et leurs militants se sont regroupés à l’esplanade du grand stade de Conakry. Au niveau des militants les revendications sont diverses ; certains parlent des conditions de vie précaires du citoyen guinéen, d’autres réclament de meilleures conditions d’organisation des élections législatives du 12 mai.
La marche a enregistré des incidents au passage, devant le RPG, le parti du président Condé ; des heurts entre manifestants et éléments des forces de l’ordre ont fait plusieurs blessés civils et au sein de la police et de la gendarmerie selon un responsable de la gendarmerie.
L’opposition guinéenne insiste sur le vote des Guinéens vivant à l’étranger et le départ de Waymark, l’opérateur technique sud-africain retenu pour la révision du fichier électoral. Elle menace de redescendre dans la rue si elle n’a pas gain de cause.
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