Robert Mugabe et son épouse Grace, dont la soif de pouvoir a provoqué la chute de son mari, n'ont pas été vus en public depuis l'annonce par le président de sa démission le 21 novembre après 37 ans de pouvoir sans partage.
"Il est à Singapour, cela fait partie des voyages à l'étranger auxquels il a droit en tant que président à la retraite", a déclaré à l'AFP M. Charamba, qui est devenu le porte-parole du nouveau président Emmerson Mnangagwa.
Il a rappelé que Robert Mugabe se rendait régulièrement à Singapour "pour y rencontrer ses médecins". "Il n'y aucune raison de l'humilier ou de l'ostraciser", a affirmé George Charamba.
Le pousser à la démission avait pour seul objectif "de le soustraire des griffes de la cabale dans laquelle il avait été entraîné", a-t-il dit, ajoutant: "cela a été fait, si bien que son héritage en sort grandi".
Le principal défi du nouveau chef de l'Etat Emmerson Mnangagwa, consiste à relancer l'économie, en crise depuis une funeste réforme agraire lancée au début des années 2000.
>> Lire aussi: Le nouveau président du Zimbabwe appelle à l'"unité" pour relancer l'économie
Plus de 90% de sa population est officiellement au chômage et le pays manque cruellement de liquidités.
Dans un souci de ramener de l'argent frais au Zimbabwe, le président Mnangagwa a lancé un ultimatum de trois mois aux entreprises et aux particuliers pour rapatrier tous les capitaux illégalement sortis du pays.
M. Mnangagwa est vivement critiqué pour avoir nommé des militaires et des membres de la vieille garde de Robert Mugabe dans son gouvernement, des mesures qui pourraient refroidir les ardeurs des investisseurs.
L'ancien président zimbabwéen Robert Mugabe, 93 ans et évincé du pouvoir en novembre, s'est envolé pour Singapour afin d'y subir un contrôle médical de routine, a annoncé jeudi son ancien porte-parole, George Charamba.
Robert Mugabe et son épouse Grace, dont la soif de pouvoir a provoqué la chute de son mari, n'ont pas été vus en public depuis l'annonce par le président de sa démission le 21 novembre après 37 ans de pouvoir sans partage.
"Il est à Singapour, cela fait partie des voyages à l'étranger auxquels il a droit en tant que président à la retraite", a déclaré à l'AFP M. Charamba, qui est devenu le porte-parole du nouveau président Emmerson Mnangagwa.
Il a rappelé que Robert Mugabe se rendait régulièrement à Singapour "pour y rencontrer ses médecins". "Il n'y aucune raison de l'humilier ou de l'ostraciser", a affirmé George Charamba.
Le pousser à la démission avait pour seul objectif "de le soustraire des griffes de la cabale dans laquelle il avait été entraîné", a-t-il dit, ajoutant: "cela a été fait, si bien que son héritage en sort grandi".
>> Lire aussi: Rigueur et appel aux investisseurs pour le premier budget post-Mugabe
Le principal défi du nouveau chef de l'Etat Emmerson Mnangagwa, consiste à relancer l'économie, en crise depuis une funeste réforme agraire lancée au début des années 2000.
Plus de 90% de sa population est officiellement au chômage et le pays manque cruellement de liquidités.
Dans un souci de ramener de l'argent frais au Zimbabwe, le président Mnangagwa a lancé un ultimatum de trois mois aux entreprises et aux particuliers pour rapatrier tous les capitaux illégalement sortis du pays.
M. Mnangagwa est vivement critiqué pour avoir nommé des militaires et des membres de la vieille garde de Robert Mugabe dans son gouvernement, des mesures qui pourraient refroidir les ardeurs des investisseurs.
Avec AFP