Plus de six millions d’électeurs sont attendus aux urnes mercredi pour les élections générales au Zimbabwe. Robert Mugabe s’est engagé à quitter le pouvoir s’il est battu, mais il ne pense pas qu’il perdra.
Au pouvoir depuis 1980, le chef de l’Etat zimbabwéen a déclaré à des journalistes qu’il entend respecter les règles de la démocratie et les lois du pays en cas de victoire du Premier ministre, Morgan Tsvangirai.
« C’est chose normale. Si vous prenez part à une compétition où il n’y a que deux résultats possibles, vous ne pouvez pas vous prévaloir des deux. Vous perdez, ou vous gagnez. Et si vous perdez, alors vous devez passer la main à ceux qui ont gagné. Et c’est tout. Nous ferons ainsi », a déclaré le M. Mugabe.
Toutefois, le leader zimbabwéen se dit confiant qu’il remportera la présidentielle. Il ne s’attend pas à un autre gouvernement d’union nationale comme celui où cohabitent actuellement son parti, la ZANU-PF, et le Mouvement pour le changement démocratique (MDC) du Premier ministre Tsvangirai.
« Eh bien, cette possibilité n’est pas envisagée en ce moment. Je ne pense pas que nous aurons le même résultat. Je pense que nous aurons une victoire nette. Si ce n’est pas le cas, nous en discuterons. Nous ne pouvons rien prédire. Laissons les électeurs décider », a-t-il déclaré.
Il s’agit du troisième face-à-face entre Mugabe et Tsvangirai, ce dernier ayant été candidat en 2002 et 2008. La présidentielle de 2008 avait dégénéré en violence, conduisant à la mise en place d’un gouvernement d’union nationale.
Les préparatifs des élections générales d’aujourd’hui ont été relativement paisibles, mais le parti de Morgane Tsvangirai dit qu’il n’a plus foi en la commission électorale nationale.
Il y a 2 semaines, le vote des agents de sécurité avait sombré dans le chaos, se prolongeant sur une troisième journée en violation de la Constitution. Le MDC accuse la commission électorale d’avoir gonflé les effectifs de ces agents pour, dit-il, augmenter le total des suffrages recueillis par la ZANU-PF.
Dans un article publié hier par le quotidien zimbabwéen Newsday, le Premier ministre Tsvangirai a, par ailleurs, accusé le président de la commission électorale d’avoir empêché des milliers de militants du MDC de s’inscrire sur les listes électorales.
Au pouvoir depuis 1980, le chef de l’Etat zimbabwéen a déclaré à des journalistes qu’il entend respecter les règles de la démocratie et les lois du pays en cas de victoire du Premier ministre, Morgan Tsvangirai.
« C’est chose normale. Si vous prenez part à une compétition où il n’y a que deux résultats possibles, vous ne pouvez pas vous prévaloir des deux. Vous perdez, ou vous gagnez. Et si vous perdez, alors vous devez passer la main à ceux qui ont gagné. Et c’est tout. Nous ferons ainsi », a déclaré le M. Mugabe.
Toutefois, le leader zimbabwéen se dit confiant qu’il remportera la présidentielle. Il ne s’attend pas à un autre gouvernement d’union nationale comme celui où cohabitent actuellement son parti, la ZANU-PF, et le Mouvement pour le changement démocratique (MDC) du Premier ministre Tsvangirai.
« Eh bien, cette possibilité n’est pas envisagée en ce moment. Je ne pense pas que nous aurons le même résultat. Je pense que nous aurons une victoire nette. Si ce n’est pas le cas, nous en discuterons. Nous ne pouvons rien prédire. Laissons les électeurs décider », a-t-il déclaré.
Il s’agit du troisième face-à-face entre Mugabe et Tsvangirai, ce dernier ayant été candidat en 2002 et 2008. La présidentielle de 2008 avait dégénéré en violence, conduisant à la mise en place d’un gouvernement d’union nationale.
Les préparatifs des élections générales d’aujourd’hui ont été relativement paisibles, mais le parti de Morgane Tsvangirai dit qu’il n’a plus foi en la commission électorale nationale.
Il y a 2 semaines, le vote des agents de sécurité avait sombré dans le chaos, se prolongeant sur une troisième journée en violation de la Constitution. Le MDC accuse la commission électorale d’avoir gonflé les effectifs de ces agents pour, dit-il, augmenter le total des suffrages recueillis par la ZANU-PF.
Dans un article publié hier par le quotidien zimbabwéen Newsday, le Premier ministre Tsvangirai a, par ailleurs, accusé le président de la commission électorale d’avoir empêché des milliers de militants du MDC de s’inscrire sur les listes électorales.