La Cour pénale internationale (CPI) a confirmé sa compétence pour juger l'ancien président ivoirien Laurent Gbagbo, pour crimes contre l’humanité.
Au cours d'une audience à La Haye, où siège la CPI, la juge Anita Usacka a annoncé le rejet de l’appel interjeté par M. Gbagbo, qui a été arrêté en 2011 et reste détenu aux Pays-Bas.
M. Gbagbo fait face à quatre chefs d'accusation pour crimes contre l'humanité découlant de son rôle présumé dans les violences qui ont éclaté après qu’il eut perdu l'élection présidentielle contestée de 2010 face à Alassane Ouattara, aujourd’hui au pouvoir en Côte d’Ivoire.
L'arrestation de M. Gbagbo a marqué la fin de plusieurs mois d’affrontements qui ont couté la vie à quelques 3.000 personnes et fait plus d'un million de déplacés dans son pays, alors qu’il tentait de s’accrocher au pouvoir.
L’audience de confirmation des charges pourrait avoir lieu dans les prochains jours
Pendant ce temps, à Abidjan, une partie de l’opposition ivoirienne, dénonce une " attitude désinvolte" des autorités à quelques mois des élections municipales et régionales prévues le 24 février prochain.
Six partis contestent la modification du code électoral intervenue la semaine dernière.
Au cours d'une audience à La Haye, où siège la CPI, la juge Anita Usacka a annoncé le rejet de l’appel interjeté par M. Gbagbo, qui a été arrêté en 2011 et reste détenu aux Pays-Bas.
M. Gbagbo fait face à quatre chefs d'accusation pour crimes contre l'humanité découlant de son rôle présumé dans les violences qui ont éclaté après qu’il eut perdu l'élection présidentielle contestée de 2010 face à Alassane Ouattara, aujourd’hui au pouvoir en Côte d’Ivoire.
L'arrestation de M. Gbagbo a marqué la fin de plusieurs mois d’affrontements qui ont couté la vie à quelques 3.000 personnes et fait plus d'un million de déplacés dans son pays, alors qu’il tentait de s’accrocher au pouvoir.
L’audience de confirmation des charges pourrait avoir lieu dans les prochains jours
Pendant ce temps, à Abidjan, une partie de l’opposition ivoirienne, dénonce une " attitude désinvolte" des autorités à quelques mois des élections municipales et régionales prévues le 24 février prochain.
Six partis contestent la modification du code électoral intervenue la semaine dernière.
Your browser doesn’t support HTML5