"Il a été constaté une réponse tardive et que moi-même en tant que responsable de la Force, je considère comme inadéquate", a déclaré le général de division Jean Baillaud mercredi.
Les Casques bleus stationnés à Miriki, village de l'est de la République démocratique du Congo théâtre d'un massacre ethnique nocturne début janvier, ont eu une réponse "inadéquate" face à ce drame, a déclaré mercredi 20 janvier le chef de la force militaire de l'ONU dans ce pays.
"Il a été constaté une réponse tardive et que moi-même en tant que responsable de la Force, je considère comme inadéquate", a déclaré le général de division Jean Baillaud lors d'une conférence de presse à propos des soldats sud-africains qui étaient basés à environ un kilomètre du village et qui ne sont pas intervenus pour mettre un terme à la tuerie.
Avec AFP