Vingt-sept musulmans soudanais ont déclaré ne reconnaitre aucun autre texte religieux que le Coran et de fait rejeter l'autorité de la sunna (les paroles et les actes du prophète Mahomet).
Les 27 hommes sont également accusés de trouble à l'ordre public pour avoir exprimé leur opinion publiquement dans un marché au sud de Khartoum.
Juges par le tribunal de Kalakla, au sud de Khartoum, ils risquent la peine de mort pour "apostasie", comme le prévoit la charia, loi islamique en vigueur au Soudan depuis 1983.
Avec AFP