Patrick Lawson, premier vice-président de l’ANC (opposition), explique que la marche de samedi « c’est toujours dans le même but : la lutte contre l’impunité, la lutte pour l’Etat de droit, l’exigence de la libération de nos détenus injustement arrêtés. »
Au Togo, l’opposition n’en démord pas. Jeudi 23 mai 2013, elle a bravé une interdiction des autorités de protester contre le décès en détention d'un opposant.
Cette marche a été réprimée par les forces de l’ordre qui ont dispersé les manifestants à coup de gaz lacrymogènes.
A l’issue d’une réunion de près de 6 heures ce vendredi, elle a appelé à nouveau ses militants à descendre dans les rues de Lomé samedi matin.
Bagassi Koura a joint à Lomé Patrick Lawson, le premier vice-président de l’ANC, un des partis membres de la coalition de l’opposition. Il explique que la marche de samedi « c’est toujours dans le même but : la lutte contre l’impunité, la lutte pour l’Etat de droit, l’exigence de la libération de nos détenus injustement arrêtés. »
Le collectif "Sauvons le Togo" (CST), qui rassemble des membres de l'opposition et de la société civile, et la coalition "Arc-en-ciel", qui regroupe cinq partis d'opposition, avaient entamé mardi trois jours de manifestations pour protester contre le décès en détention d'un opposant et pour demander la libération des autres opposants détenus dans l'affaire des incendies de deux marchés en janvier.
Cette marche a été réprimée par les forces de l’ordre qui ont dispersé les manifestants à coup de gaz lacrymogènes.
A l’issue d’une réunion de près de 6 heures ce vendredi, elle a appelé à nouveau ses militants à descendre dans les rues de Lomé samedi matin.
Bagassi Koura a joint à Lomé Patrick Lawson, le premier vice-président de l’ANC, un des partis membres de la coalition de l’opposition. Il explique que la marche de samedi « c’est toujours dans le même but : la lutte contre l’impunité, la lutte pour l’Etat de droit, l’exigence de la libération de nos détenus injustement arrêtés. »
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Le collectif "Sauvons le Togo" (CST), qui rassemble des membres de l'opposition et de la société civile, et la coalition "Arc-en-ciel", qui regroupe cinq partis d'opposition, avaient entamé mardi trois jours de manifestations pour protester contre le décès en détention d'un opposant et pour demander la libération des autres opposants détenus dans l'affaire des incendies de deux marchés en janvier.