Les chrétiens du monde entier observent le jour où Jésus a été crucifié. Comme chaque année, des pèlerins du monde entier se sont donné rendez-vous à Jérusalem pour l’occasion.
Ils étaient des milliers à investir la vieille ville de Jérusalem pour la traditionnelle procession du Vendredi Saint. Les pèlerins ont marché dans les étroites ruelles pavées de la Via Dolorosa - la Voie des douleurs - beaucoup d'entre eux portant de grandes croix en bois.
Chantant des hymnes et lisant l'Évangile, ils ont refait le parcours de Jésus, s’arrêtant et priant à chacune des 14 stations du chemin de Croix. Leur destination : l’Eglise du Saint-Sépulcre. Selon la tradition, elle a été construite sur le site où Jésus fut crucifié, enseveli et ressuscité. Dans la foule des pèlerins, Michael Wade, un Américain venu de la Floride.
"C'est très bien d'être ici, l’endroit où tout s’est passé. C'est une chose de s'asseoir dans une église aux Etats-Unis et d'entendre tout ce qui s'est passé il y a 2000 ans, et c'est un sentiment très différent d'être là où l’événement a effectivement eu lieu. Je pense qu'il y a certainement beaucoup plus de connexion", explique-t-il.
Pour Yohann Defar, venu de l'Ethiopie, Jérusalem, le Vendredi Saint, est une révélation.: "vous sentez l'agonie de notre Seigneur. Vous le sentez à l'intérieur de vous. C'est tellement merveilleux. Nous sentons notre Seigneur en ce moment, non seulement en paroles , mais même dans son esprit, dans notre cœur."
La foule était particulièrement énorme cette année à Jérusalem, une coïncidence de calendriers faisant que les Eglises orthodoxes et occidentales célèbrent la Semaine Sainte et Pâques et en même temps.
A Rome, le pape François préside ce soir une cérémonie du chemin de croix au Colisée.
Dans le Nord des Philippines, des fidèles ont été littéralement cloués sur des croix de bois pour reconstituer la crucifixion de Jésus, sous le regard des milliers de spectateurs ; un sanglant rituel annuel que n’approuvent pas les autorités religieuses ni les responsables philippins de la santé.
Chantant des hymnes et lisant l'Évangile, ils ont refait le parcours de Jésus, s’arrêtant et priant à chacune des 14 stations du chemin de Croix. Leur destination : l’Eglise du Saint-Sépulcre. Selon la tradition, elle a été construite sur le site où Jésus fut crucifié, enseveli et ressuscité. Dans la foule des pèlerins, Michael Wade, un Américain venu de la Floride.
"C'est très bien d'être ici, l’endroit où tout s’est passé. C'est une chose de s'asseoir dans une église aux Etats-Unis et d'entendre tout ce qui s'est passé il y a 2000 ans, et c'est un sentiment très différent d'être là où l’événement a effectivement eu lieu. Je pense qu'il y a certainement beaucoup plus de connexion", explique-t-il.
Pour Yohann Defar, venu de l'Ethiopie, Jérusalem, le Vendredi Saint, est une révélation.: "vous sentez l'agonie de notre Seigneur. Vous le sentez à l'intérieur de vous. C'est tellement merveilleux. Nous sentons notre Seigneur en ce moment, non seulement en paroles , mais même dans son esprit, dans notre cœur."
La foule était particulièrement énorme cette année à Jérusalem, une coïncidence de calendriers faisant que les Eglises orthodoxes et occidentales célèbrent la Semaine Sainte et Pâques et en même temps.
A Rome, le pape François préside ce soir une cérémonie du chemin de croix au Colisée.
Dans le Nord des Philippines, des fidèles ont été littéralement cloués sur des croix de bois pour reconstituer la crucifixion de Jésus, sous le regard des milliers de spectateurs ; un sanglant rituel annuel que n’approuvent pas les autorités religieuses ni les responsables philippins de la santé.