Au Burkina Faso, des questions sans réponses demeurent après une embuscade mercredi dernier contre un convoi transportant des employés d'une compagnie minière canadienne dans le pays. Au moins 37 personnes ont été tuées faisant de cette attaque-là plus meurtrière depuis près de cinq ans.
Le ministre de la Sécurité du Burkina Faso, Ousséni Compaoré, a déclaré que les forces de sécurité du pays n'étaient pas préparées à la "guerre asymétrique" à laquelle faisait face le pays de l'Afrique de l'Ouest après l'embuscade du 6 novembre contre un convoi civil.
Au Mali, au Burkina Faso et au Niger, un boom aurifère suscite la convoitise croissante de divers groupes armés. Les forces de sécurité peinent à contrôler les zones d’orpaillage dans des régions délaissées et parfois même abandonnées par l’Etat les groupe djihadistes s’y engouffrent. Idriss Fall a
Au Burkina Faso, c’est toujours la tristesse et la colère chez les familles des victimes de l’attaque du convoi de la mine d’or de SEMAFO sur l’axe Boungou-Ougarou mercredi dernier. Durant tout le week-end écoulé, les parents des 39 personnes tuées ont récupéré les corps de ces victimes.
Trois assaillants ont été abattus hier à Foutouri, dans l'est du Burkina Faso, dans ce que l’armée qualifie de “vigoureuse riposte" à une "attaque terroriste" contre un détachement militaire.
C’est toujours la tristesse et la colère chez les familles des victimes de l’attaque du convoi de la mine d’or de SEMAFO sur l’axe Boungou-Ougarou le mercredi dernier. Durant tout ce week-end, les parents des victimes de l’attaque ont procédé à l’enlèvement des corps.
Au Burkina Faso, c’est toujours la tristesse et la colère au sein des familles des victimes de l’attaque, mercredi dernier, du convoi de la mine d’or de SEMAFO, sur l’axe Boungou-Ougarou. .
C’est toujours la tristesse et la colère chez les familles des victimes de l’attaque du convoi de la mine d’or de SEMAFO, sur l’axe Boungou-Ougarou. Durant tout le week-end, les parents des 48 personnes tuées ont procédé à l’enlèvement des corps.
Le Burkina Faso continue d’observer le deuil national de trois jours décrété jeudi après l'embuscade contre un convoi minier, qui a fait au moins 38 morts et 60 blessés mercredi dernier.
Les attaques réitérées des groupes djihadistes contre des employés de mines d'or au Burkina Faso, dont la dernière en date a fait au moins 38 morts, risquent d'impacter la production de ce secteur devenu stratégique pour le pays, selon des experts.
Après avoir décrété un deuil national de trois jours suite à la mort de 38 personnes, le président Kaboré a demandé la mobilisation générale pour lutter contre le terrorisme.
Cinq autobus avec des employés d’une mine d'or de la compagnie canadienne Semafo ont été pris d’assaut sur la route Ouragou-Boungou par des individus armés non identifiés. On compte 38 morts et une soixantaine de personnes.
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