Dans la capitale syrienne, Damas, Philip Crowther, notre confrère de l’Associated Press, raconte l'atmosphère qui prévaut ce vendredi après la chute, dimanche dernier, du régime de Bachar al-Assad.
Au lendemain de la chute du régime de Bachar al-Assad, de nombreux habitants ont afflué à la prison de Saydnaya, tristement célèbre et connue sous le nom d'"abattoir humain", à la recherche de leurs proches disparus.
Des milliers d'hommes, femmes et enfants, sont descendus dans la rue à travers la Syrie aujourd'hui pour fêter ce qu’ils décrivent comme la "victoire de la révolution", après la chute, dimanche dernier, du régime de Bachar al-Assad.
Donald Trump a fait savoir qu'il souhaitait éviter de s'impliquer en Syrie après l'éviction d'Al-Assad par un groupe d'insurgés. Toutefois, il pourrait devoir équilibrer sa position, notamment pour protéger Israël et isoler l'Iran.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a rejeté les accusations pour lesquelles il est poursuivi devant un tribunal où il a été interrogé pour la première fois mardi dans son procès pour corruption, fraude et abus de confiance.
La capitale syrienne, Damas, reprend vie ce lundi, au début d'une ère pleine d'espoir mais incertaine. Les rebelles se sont emparés de la capitale et le président Bachar el-Assad s'est réfugié en Russie, après 13 ans de guerre civile et plus de 50 ans de règne brutal.
Des foules de Syriens ont célébré dimanche la chute de Bachar al-Assad, renversé par une offensive fulgurante de groupes rebelles menés par des islamistes radicaux, dont le chef est arrivé à Damas.
Amnesty International accuse jeudi Israël dans un rapport de "commettre un génocide" contre les Palestiniens dans la bande de Gaza, appelant la communauté internationale à ne pas en être "complice", une mise en cause rejetée avec force par le gouvernement israélien.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a annoncé qu'Israël a récupéré, lors d'une opération spéciale, le corps d'un otage israélien tué en captivité à Gaza par le Hamas.
Les Etats-Unis ont exprimé leur opposition mardi à toute construction permanente de base militaire par Israël dans la bande de Gaza, au lendemain d'informations en ce sens du New York Times.
Des représentants du mouvement islamiste palestinien Hamas et du Fatah, parti du président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas, se sont mis d'accord sur la formation d'un comité chargé d'administrer la bande de Gaza après la guerre, a appris mardi l'AFP auprès de négociateurs des deux camps.
Le président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, a pris un décret sur les modalités de l'intérim quand son poste sera "vacant". Il écarte de facto le Hamas pour cette période transitoire.
Voir plus