Un porte-parole de l'armée malienne a déclaré dimanche qu’un seul soldat, et non pas toute l'armée, était responsable de l'assassinat de 16 prédicateurs islamiques tués à un poste de contrôle militaire.
«Ce n'est pas l'armée malienne", a déclaré Idrissa Traoré, en charge des relations publiques pour les forces armées du pays. "Il y a eu des victimes - c'était un soldat. Il a été capturé et l'enquête se poursuit. "
Les troupes maliennes sont en état d'alerte depuis que des militants islamistes ont pris le contrôle du nord du pays, à la suite d'un coup d'Etat militaire à Bamako en Mars.
Selon des agents de sécurité cités par la presse, les soldats ont ouvert le feu après que le groupe a refusé de s’arrêter à un poste de contrôle militaire.
Selon certaines informations, les prédicateurs - une moitié de la Mauritanie et l’autre du Mali - étaient de la secte modérée Dawa et n'étaient pas armés. Mais ils auraient pu être pris pour des terroristes en raison de leurs longues barbes. Ils se rendaient à une conférence à Bamako quand ils ont été tués dans la nuit de samedi, au poste de contrôle de Diabaly, à plus de 400 km au nord de la capitale.
Selon Traoré, c’était possible pour un seul soldat de tuer les 16 personnes à la fois sans l'aide d'autres soldats.
Le porte-parole de l'armée malienne a indiqué qu'il ne pense pas que ces tueries auront un impact sur la reconquête du nord du pays, actuellement sous contrôle de groupes islamistes extrémistes.
"Cela n'a rien à voir avec la mission de l'armée dans le Nord", a-t-il lancé.
«Ce n'est pas l'armée malienne", a déclaré Idrissa Traoré, en charge des relations publiques pour les forces armées du pays. "Il y a eu des victimes - c'était un soldat. Il a été capturé et l'enquête se poursuit. "
Les troupes maliennes sont en état d'alerte depuis que des militants islamistes ont pris le contrôle du nord du pays, à la suite d'un coup d'Etat militaire à Bamako en Mars.
Selon des agents de sécurité cités par la presse, les soldats ont ouvert le feu après que le groupe a refusé de s’arrêter à un poste de contrôle militaire.
Selon certaines informations, les prédicateurs - une moitié de la Mauritanie et l’autre du Mali - étaient de la secte modérée Dawa et n'étaient pas armés. Mais ils auraient pu être pris pour des terroristes en raison de leurs longues barbes. Ils se rendaient à une conférence à Bamako quand ils ont été tués dans la nuit de samedi, au poste de contrôle de Diabaly, à plus de 400 km au nord de la capitale.
Selon Traoré, c’était possible pour un seul soldat de tuer les 16 personnes à la fois sans l'aide d'autres soldats.
Le porte-parole de l'armée malienne a indiqué qu'il ne pense pas que ces tueries auront un impact sur la reconquête du nord du pays, actuellement sous contrôle de groupes islamistes extrémistes.
"Cela n'a rien à voir avec la mission de l'armée dans le Nord", a-t-il lancé.