L'idée de déployer une telle force le long de la frontière entre le Rwanda et la RDC a été adoptée par les pays des Grands Lacs à un sommet de l'Union africaine en Juillet. Maintenant, le Sous-Secrétaire général de l’ONU pour le maintien de la paix, Hervé Ladsous, qui est en visite en République Démocratique du Congo, a annoncé que l'organisation soutient la proposition et veut contribuer à en faire une réalité.
S'adressant aux médias à Goma mardi, il a précisé que deux choses doivent se passer: une fin des hostilités et des atrocités au Nord-Kivu, et le respect de la souveraineté de la RDC.
Le Nord-Kivu dans l'Est du Congo a connu une recrudescence généralisée de la violence depuis le mois de mai, lorsque des soldats de l'armée congolaise ont déclenché une rébellion, qu’ils ont nommée le Mouvement M23.
A la question de savoir si le gouvernement congolais devrait négocier avec le M23, il a répondu que c'était au gouvernement congolais de décider. Mais il a ajouté que certaines des personnes impliquées devraient faire face à la justice internationale.
La RDC continue d’accuser le Rwanda de soutenir les rebelles du M23 au Nord-Kivu. Le Rwanda dément ces accusations.
S'adressant aux médias à Goma mardi, il a précisé que deux choses doivent se passer: une fin des hostilités et des atrocités au Nord-Kivu, et le respect de la souveraineté de la RDC.
Le Nord-Kivu dans l'Est du Congo a connu une recrudescence généralisée de la violence depuis le mois de mai, lorsque des soldats de l'armée congolaise ont déclenché une rébellion, qu’ils ont nommée le Mouvement M23.
A la question de savoir si le gouvernement congolais devrait négocier avec le M23, il a répondu que c'était au gouvernement congolais de décider. Mais il a ajouté que certaines des personnes impliquées devraient faire face à la justice internationale.
La RDC continue d’accuser le Rwanda de soutenir les rebelles du M23 au Nord-Kivu. Le Rwanda dément ces accusations.