La participation électorale a été importante, particulièrement dans le Sud, et l’enthousiasme des Maliens se rendant aux urnes était palpable. L’élection a eu lieu au milieu d’un imposant dispositif de sécurité, somme toute normal dans un pays confronté à des défis politico-sécuritaires – 18 mois après le coup d’Etat, l’occupation consécutive du Nord et l’intervention militaire française pour en chasser les militants islamistes.
« L’affluence était sans égale depuis l’avènement de la démocratie au Mali », dit notre correspondant à Bamako Kassim Traoré. « Jamais, ajoute-t-il, les maliens ne se sont bousculés comme (hier) devant les bureaux de vote, tous voulant accomplir leur devoir civique mais surtout doter le pays d’un nouveau président et d’institutions capables d’améliorer les conditions de vie des maliens, et trouver une solution définitive la crise qu’a connu le pays ces derniers mois » :
L’envoyé spécial de la VOA à Bamako, Bagassi Koura, s’est entretenu avec des Maliens à la sortie des bureaux de vote :
A Tombouctou, satisfaction des électeurs. Mais dans d’autres localités, particulièrement dans la région septentrionale de Kidal, la participation électorale ne serait pas si importante que dans le reste du pays. Certains agents électoraux, dit-on, ont fait faux bond aux électeurs. Les séparatistes touareg avaient menacé de s’en prendre à eux, et aux centres de vote dans la région.
A Gao, en revanche, grande affluence. Le correspondant de la VOA dans la ville, Oukachata Seydou :
Même engouement à Mopti. Le correspondant de la VOA dans la ville, Mamoudou Bocoum :
A noter qu’en Côte d’Ivoire, où résident au moins 2 millions de ressortissants maliens, cette diaspora a tenu à voter hier – conscients de l’enjeu électoral. Le correspondant de la VOA à Abidjan, Germain NDRI :
Un second tour de scrutin est prévu le 11 août, si aucun des 27 candidats en lice n’obtient la majorité requise.
« L’affluence était sans égale depuis l’avènement de la démocratie au Mali », dit notre correspondant à Bamako Kassim Traoré. « Jamais, ajoute-t-il, les maliens ne se sont bousculés comme (hier) devant les bureaux de vote, tous voulant accomplir leur devoir civique mais surtout doter le pays d’un nouveau président et d’institutions capables d’améliorer les conditions de vie des maliens, et trouver une solution définitive la crise qu’a connu le pays ces derniers mois » :
L’envoyé spécial de la VOA à Bamako, Bagassi Koura, s’est entretenu avec des Maliens à la sortie des bureaux de vote :
A Tombouctou, satisfaction des électeurs. Mais dans d’autres localités, particulièrement dans la région septentrionale de Kidal, la participation électorale ne serait pas si importante que dans le reste du pays. Certains agents électoraux, dit-on, ont fait faux bond aux électeurs. Les séparatistes touareg avaient menacé de s’en prendre à eux, et aux centres de vote dans la région.
A Gao, en revanche, grande affluence. Le correspondant de la VOA dans la ville, Oukachata Seydou :
Même engouement à Mopti. Le correspondant de la VOA dans la ville, Mamoudou Bocoum :
A noter qu’en Côte d’Ivoire, où résident au moins 2 millions de ressortissants maliens, cette diaspora a tenu à voter hier – conscients de l’enjeu électoral. Le correspondant de la VOA à Abidjan, Germain NDRI :
Un second tour de scrutin est prévu le 11 août, si aucun des 27 candidats en lice n’obtient la majorité requise.