Ce n’est pas une opération conjointe avec la Monusco, mais tout a été planifié par les Forces armées de la République Démocratique du Congo (FARDC), a précisé, de son côté, le général brésilien Carlos Alberto dos Santos Cruz, commandant de la Force onusienne.
Kinshasa avait donné jusqu'au 2 janvier aux rebelles rwandais pour déposer les armes et se rendre, ou alors subir un désarmement forcé.
Les FDLR n’ont pas répondu à cette injonction.
Le président Joseph Kabila était sous forte pression internationale pour donner son feu vert à une opération conjointe FARDC-Monusco.
L'annonce de cette offensive survient à la veille d'un sommet de l'Union africaine qui doit aussi aborder la question de la situation dans l'Est de la RDC.