Facebook à nouveau au banc des accusés
Selon une enquête du New York Times, 150 compagnies ont pu lire, écrire et supprimer des messages privés, grâce au partage de données permis par Facebook, «Les lois essayent de s’adapter dans chaque continent derrière Facebook» a dit à VOA Afrique Komi Afetse, ingénieur de base de données.