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La toute nouvelle agence anti-corruption de la RDC va bénéficier du soutien du FBI américain


L'ambassadeur Mike Hammer des Etats-Unis (G) avec les dirigeants de l'Agence de prévention et de lutte contre la corruption à Kinshasa, 21 juillet 2020. (Twitter/Mike Hammer)
L'ambassadeur Mike Hammer des Etats-Unis (G) avec les dirigeants de l'Agence de prévention et de lutte contre la corruption à Kinshasa, 21 juillet 2020. (Twitter/Mike Hammer)

C'est l'ambasadeur américain à Kinshasa qui l'annonce après une discussion avec les dirigeants de la toute nouvelle Agence de lutte contre la corruption en RDC

Mike Hammer, l’ambassadeur américain à Kinshasa, qui aime à s’appeler Nzita, un nom congolais, a déclaré sur son compte Twitter que les agents du FBI, la police fédérale américaine, ainsi que les procureurs américains étaient prêts à collaborer avec les autorités de la nouvelle agence congolaise de lutte contre la corruption.

La collaboration se fera, d’après l’ambassadeur, sur les affaires connectées à l’échelle internationale.

"Ensemble nous pouvons mieux gérer les affaires transnationales", a écrit l’ambassadeur. Mike Hammer a discuté de la question avec les dirigeants de l’agence qu’il a reçus lundi.

C'est dimanche que le président Félix Tshisekedi a nommé Ghislain Kikangala comme coordonnateur de l’agence, avec trois adjoints.

Parmi eux, Adler Kisula Betika Yeye, le procureur qui avait décidé le 8 avril le placement en détention préventive de l'ex-directeur de cabinet du président de la République, Vital Kamerhe, condamné fin juin à 20 ans de prison pour détournements de fonds.

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