Ultimatum à Facebook à l'approche de la présidentielle kenyane
- Eric Manirakiza
Au Kenya, l'organe de surveillance pour la cohésion ethnique a donné une semaine à Facebook pour se conformer à la réglementation relative aux discours de haine ethnique, sous peine de suspension. L’ONG a accusé la semaine dernière la plateforme de médias sociaux d’avoir failli à censurer le discours de haine en vue des élections du 9 août. Mais des ministres kenyans affirment que le gouvernement n'a pas l'intention d'interdire Facebook. Reportage de Victoria Amunga depuis Nairobi, au Kenya.