Depuis bientôt quatre ans, le train ne passe plus par Niangoloko, carrefour migratoire vers la Côte d'Ivoire dont la gare ferroviaire est le moteur économique. Le gouvernement burkinabè souhaite la reprise de ses activités, mais se heurte au refus des autorités ivoiriennes.
Au Burkina Faso, une ville privée de sa gare tourne au ralenti