Il y a de cela six ans, l’ancien président George W. Bush lançait le Plan présidentiel d’aide d’urgence à la lutte contre le sida, le PEPFAR. Il s’agissait de l’engagement le plus important de l’histoire de la part d’un seul pays en vue de combattre une seule maladie, et aussi de la pierre angulaire de l’initiative mondiale des Etats-Unis en matière de santé. Au cours des cinq dernières années, le PEPFAR a aidé à réduire de 10 pour cent les décès dûs au sida dans les pays africains ciblés. Cela se traduit, en chiffres, par 1,1 à 1,2 millions de décès qui ont été ainsi évités.
Aujourd’hui, le PEPFAR est prêt à passer à l’étape suivante de son existence. Annonçant à la presse la nouvelle stratégie quinquennale du PEPFAR, le coordonateur mondial des Etats-Unis pour le sida, l’ambassadeur Eric Goosby, a dit qu’en dépit des nombreux succès du PEFPAR, de nombreux besoins attendent d’être satisfaits. « Nous avons touché approximativement un tiers de la population ayant besoin de soins. Si nous voulons préserver les gains que nous avons réalisés contre cette pandémie, le PEPFAR devra travailler en plus étroite collaboration avec les gouvernements pour soutenir et lancer une réponse réellement mondiale à ce fardeau commun de la maladie. »
Au cours des cinq prochaines années, le PEPFAR passera d’un effort d’urgence à un programme durable géré et financé en fin de compte par le gouvernement partenaire. « Le pays a besoin de gérer ces programmes », a dit l’ambassadeur Goosby. « La population que ces programmes assistent est du pays et dans le pays. »
Le PEPFAR intensifiera également ses efforts de prévention en soulignant l’efficacité de mesures comme la circoncision masculine et la prévention de la transmission de la mère à l’enfant du VIH, a dit l’ambassadeur Goosby. « Nous continuerons de mettre l’accent sur le traitement. Là où nous avons besoin de plus d’efforts, c’est sur notre capacité d’agir vigoureusement contre le mouvement du virus au sein de chaque population. »
« Alors que nous intensifions nos efforts de prévention du VIH, de soins et de traitement, nous avons besoin d’œuvrer avec nos partenaires internationaux et multilatéraux pour créer une vision partagée d’une réponse mondiale à cette responsabilité mondiale », a dit l’ambassadeur Goosby.
« Nous devons travailler avec plus d’acharnement et d’intelligence qu’avant pour jeter les fondations sur lesquelles les pays pourront bâtir sur le long terme. »
Aujourd’hui, le PEPFAR est prêt à passer à l’étape suivante de son existence. Annonçant à la presse la nouvelle stratégie quinquennale du PEPFAR, le coordonateur mondial des Etats-Unis pour le sida, l’ambassadeur Eric Goosby, a dit qu’en dépit des nombreux succès du PEFPAR, de nombreux besoins attendent d’être satisfaits. « Nous avons touché approximativement un tiers de la population ayant besoin de soins. Si nous voulons préserver les gains que nous avons réalisés contre cette pandémie, le PEPFAR devra travailler en plus étroite collaboration avec les gouvernements pour soutenir et lancer une réponse réellement mondiale à ce fardeau commun de la maladie. »
Au cours des cinq prochaines années, le PEPFAR passera d’un effort d’urgence à un programme durable géré et financé en fin de compte par le gouvernement partenaire. « Le pays a besoin de gérer ces programmes », a dit l’ambassadeur Goosby. « La population que ces programmes assistent est du pays et dans le pays. »
Le PEPFAR intensifiera également ses efforts de prévention en soulignant l’efficacité de mesures comme la circoncision masculine et la prévention de la transmission de la mère à l’enfant du VIH, a dit l’ambassadeur Goosby. « Nous continuerons de mettre l’accent sur le traitement. Là où nous avons besoin de plus d’efforts, c’est sur notre capacité d’agir vigoureusement contre le mouvement du virus au sein de chaque population. »
« Alors que nous intensifions nos efforts de prévention du VIH, de soins et de traitement, nous avons besoin d’œuvrer avec nos partenaires internationaux et multilatéraux pour créer une vision partagée d’une réponse mondiale à cette responsabilité mondiale », a dit l’ambassadeur Goosby.
« Nous devons travailler avec plus d’acharnement et d’intelligence qu’avant pour jeter les fondations sur lesquelles les pays pourront bâtir sur le long terme. »