Intitulé « Conditions du dialogue avec le président Goodluck Jonathan et le Gouverneur Kashim Shettima », le communiqué dresse une série de revendications.
Boko Haram exige notamment que la loi islamique soit en vigueur dans le Nord du Nigeria. L’organisation demande aussi la démission du gouvernement de l’Etat de Borno.
Les membres de la secte qui ont été emprisonnés par les autorités sont par ailleurs au cœur des exigences. Boko Haram insiste sur leur libération.
Enfin, la secte exige qu’un officiel de haut rang soit traduit en justice pour la mort d’un de ses dirigeants.