Un accrochage violent a opposé samedi des soldats français de la force Sangaris et des rebelles musulmans de la Séléka à Bambari, au nord-est de Bangui, la capitale de la Centrafrique, ont déclaré Reuters et l’Agence France Presse, qui citent l'état-major des armées.
Les soldats français déployés à Bambari, situé à environ 300 km de Bangui, ont été pris pour cible vers 10h00 (08h00 GMT) par une vingtaine d'hommes, a dit à Reuters le colonel Gilles Jaron, porte-parole des armées françaises.
Ils ont répliqué et très probablement fait des blessés parmi ces rebelles qui ne répondent plus aux ordres des leaders de la Séléka depuis la scission du mouvement, début mai.
« Nous avons été confrontés à des éléments incontrolés qui ont ouvert le feu sur la force Sangaris et nous avons immédiatement riposté », a dit à Reuters le colonel Gilles Jaron, porte-parole des armées françaises.
Il n'y a pas eu de blessés chez les militaires français.
Une vingtaine de rebelles ont forcé un barrage sur le pont de Bambari à bord de trois camions pick-up et ont ouvert le feu sur les militaires français déployés dans l'ouest de la ville, a précisé le porte-parole.
Les soldats de Sangaris, appuyés par des hélicoptères, ont procédé à un tir de sommation puis à un tir de missile anti-char qui a détruit un des véhicules.
Selon un photographe de Reuters, cinq personnes ont été blessés dont quatre dans les rangs des rebelles. L'armée française n'est pas encore en mesure de confirmer ce bilan.
Les soldats français déployés à Bambari, situé à environ 300 km de Bangui, ont été pris pour cible vers 10h00 (08h00 GMT) par une vingtaine d'hommes, a dit à Reuters le colonel Gilles Jaron, porte-parole des armées françaises.
Ils ont répliqué et très probablement fait des blessés parmi ces rebelles qui ne répondent plus aux ordres des leaders de la Séléka depuis la scission du mouvement, début mai.
« Nous avons été confrontés à des éléments incontrolés qui ont ouvert le feu sur la force Sangaris et nous avons immédiatement riposté », a dit à Reuters le colonel Gilles Jaron, porte-parole des armées françaises.
Il n'y a pas eu de blessés chez les militaires français.
Une vingtaine de rebelles ont forcé un barrage sur le pont de Bambari à bord de trois camions pick-up et ont ouvert le feu sur les militaires français déployés dans l'ouest de la ville, a précisé le porte-parole.
Les soldats de Sangaris, appuyés par des hélicoptères, ont procédé à un tir de sommation puis à un tir de missile anti-char qui a détruit un des véhicules.
Selon un photographe de Reuters, cinq personnes ont été blessés dont quatre dans les rangs des rebelles. L'armée française n'est pas encore en mesure de confirmer ce bilan.