Après le Fonds monétaire international (FMI) et le groupe de la Banque mondiale, c’était au tour des Etats-Unis d’effacer début février la quasi-totalité de la dette de la Cote d’Ivoire.
Washington et Yamoussoukro ont signé vendredi à Abidjan un accord bilatéral d'annulation de la dette – un document qui portait sur 214 millions de dollars sur un stock de près de 218 millions de dollars. Soit plus de 98 % de la dette ivoirienne envers les Etats-Unis, a déclaré la ministre ivoirienne de l'Economie Nialé Kaba, qui est citée par les média.
Rappelons que l’été dernier, la Côte d’Ivoire a bénéficié d'un allègement de sa dette de plus de plus de 4 milliards de dollars de la part du FMI et de la Banque mondiale. Économiste de profession, le président Alassane Ouattara avait travaillé à une époque au FMI, dont il connait les mécanismes.
Le gouvernement ivoirien a également bénéficié en 2012 d’un autre allègement de la dette, de la part du Club de Paris, qui regroupe les créanciers publics du pays. Quelques 6,5 milliards de dollars de dette, soit 99,5% du total, ont été effacés.
C’est ce qui permet à l’administration Ouattara d’aborder 2013 avec sérénité. D’autant que le taux de croissance du pays, après la forte récession causée par la crise de 2010-2011, a dépassé en 2012 plus de 8,5% de croissance, selon le FMI.
Les partenaires internationaux de la Côte d’Ivoire ont promis sept milliards d'euros pour le plan national de développement 2012-2015. Lors d’une visite de travail à Abidjan début janvier, la patronne du FMI, Christine Lagarde, a salué la résilience du pays. Elle a rendu hommage aux efforts déployés par le Président Ouattara pour restructurer l’économie. Lors d’un discours prononcé à l’Assemblée nationale, elle est allée jusqu'à évoquer "un deuxième miracle économique ivoirien".
Washington et Yamoussoukro ont signé vendredi à Abidjan un accord bilatéral d'annulation de la dette – un document qui portait sur 214 millions de dollars sur un stock de près de 218 millions de dollars. Soit plus de 98 % de la dette ivoirienne envers les Etats-Unis, a déclaré la ministre ivoirienne de l'Economie Nialé Kaba, qui est citée par les média.
Rappelons que l’été dernier, la Côte d’Ivoire a bénéficié d'un allègement de sa dette de plus de plus de 4 milliards de dollars de la part du FMI et de la Banque mondiale. Économiste de profession, le président Alassane Ouattara avait travaillé à une époque au FMI, dont il connait les mécanismes.
Le gouvernement ivoirien a également bénéficié en 2012 d’un autre allègement de la dette, de la part du Club de Paris, qui regroupe les créanciers publics du pays. Quelques 6,5 milliards de dollars de dette, soit 99,5% du total, ont été effacés.
C’est ce qui permet à l’administration Ouattara d’aborder 2013 avec sérénité. D’autant que le taux de croissance du pays, après la forte récession causée par la crise de 2010-2011, a dépassé en 2012 plus de 8,5% de croissance, selon le FMI.
Les partenaires internationaux de la Côte d’Ivoire ont promis sept milliards d'euros pour le plan national de développement 2012-2015. Lors d’une visite de travail à Abidjan début janvier, la patronne du FMI, Christine Lagarde, a salué la résilience du pays. Elle a rendu hommage aux efforts déployés par le Président Ouattara pour restructurer l’économie. Lors d’un discours prononcé à l’Assemblée nationale, elle est allée jusqu'à évoquer "un deuxième miracle économique ivoirien".