Les victimes sont dans une situation déplorable et craignent les représailles des assaillants, qui circulent encore dans la contrée. Ceux-ci seraient des combattants hutu rwandais des FDLR ou des groupes Mai-Mai.
Les organisations de lutte contre les violences sexuelles imputent aux groupes armés du territoire de Walikale la responsabilité d’un grand nombre de violences sexuelles dont sont victimes les femmes et filles de la région. Pour leur part, les autorités doutent des derniers chiffres avancés en rapport avec les viols collectifs de Livungi et de Walikale et envisagent de mener une enquête pour élucider cette affaire.